Saint
Saint Libert-Saint Lyé
Saint Libert. Variante : Saint Léobard. Sanctus Leobardus. Germanique liet, variante de leod = peuple et berht = brillant. Auvergnat, ami de Grégoire de Tours, reclus à Marmoutier, mort en 593. Acta Sanctorum, II, 198. Fête : 18 janvier.
37 Saint-Libert. Cne de Montbazon. Saint Libert, 1819 (Cadastre) ; Saint Libert, 1952 (Cadastre).
37 Saint-Libert. Cne de Tours. L’adveu et dénombrement rendu par Henry de Costre, conseiller du Roy, controlleur des Turcyes et levées des rivières de Loire et Cher, et Jacques Bernier, advocat en parlement, tant pour eux que pour leur cohéritiers en la succession de feu Cezard Forget, vivant escuyer, sieur de Baudry, conseiller du Roy et trésorier général de France à Tours, pour leur fief de Saint Libert rellevant de Sa Majesté à cause de son chasteau de Tours, 13 avril 1674 (A.D. 37-C 603) ; Foy et hommage rendu par Charles Joseph Bernier, tant pour luy que pour Marguerite Bernier, sa soeur, pour raison du fief de Saint Libert, rellevant de Sa Majesté à cause de son chasteau de Tours, 23 janvier 1702 (A.D. 37-C 603). Fief.
Saint Lidoire. Sanctus Litorius ou Lidorius. Habitant de Tours, élu évêque de Tours en 338, mort en 371. Acta Sanctorum, IV, 61. Fête : 13 septembre.
37 Rue Saint-Lidoire. Cne de Tours. Rue Saint Lidoire ; Rue de Saint-Lydoire, vers 1750 (A.D. 37-C 296, plan Baudry) ; Rue de Vernou, 5e jour complémentaire an 9 (Délibération du Conseil Municipal) ; Rue Saint Lidoire, 10 août 1816 (Arrêté Municipal) ; Rue Saint Lidoire, 16 février 1976 (Délibération du Conseil Municipal). Rénovée à partir de 1967, de son existence ancienne, la rue garde uniquement son nom.
Saint Ligori. Fête : 2 août.
18 Rue Saint-Ligori. Cne d’Aubigny-sur-Nère. Route d’Ennordres, 1837 (Cadastre d’Aubigny-Ville) ; Rue Saint Ligori, 1958 (Cadastre).
18 Saint-Ligori. Cne d’Aubigny-sur-Nère. Saint Ligori, 1837 (Cadastre d’Aubigny-Ville) ; Saint Ligori, 1958 (Cadastre).
Saint Lin. Sanctus Linus. Évêque de Rome de 66 à 78, et martyr. Acta Sanctorum, septembre, VI, 539. Culte supprimé en 1969. Fête : 23 septembre.
Saint Linace. Sacntus Linentius. Confesseur tourangeau. Acta Sanctorum, II, 628. Fête : 25 janvier.
Saint Liphard. Variante : Saint Léoffort. Sanctus Leoffortus, Lifardus, Liphardus, Liffardus ou Lietfardus. Né à Orléans, frère de saint Maximin, abbé, moine de l’abbaye Saint-Mesmin de Micy-lez-Orléans, qui fonda l’abbaye de Meung-sur-Loire, mort le 3 juin 565. Fête : 3 juin.
45 Saint-Liphard. Cne de Bucy-Saint-Liphard.
Sainte Lizaigne. Sancta Lucinia. Latin lux = lumière et suffixe ina pour former les noms. Acta Sanctorum, mai, VI, 4. Fête : mai.
36 Sainte-Lizaigne. Parrochia de Sancta Lizinia, 1251 ; De Chesia, in parrochia Sancte Lizinie, 1284 ; Parrochia Sancte Lizinie, 1332 ; La paroisse de Sainte Lizaigne, La ville de Sainte Lisaigne, 30 août 1402 (A.D. 18-C 812, fol. 122b) ; Puy Sainte Lizaigne, 1471 ; Fief mouvant de la Grosse Tour d’Yssoudun, les fiefz de la parroisse de Saincte Lizaigne, 1566 (Chaumeau, Histoire de Berry, Liv. VI, chap. 14, p. 257) ; Sainte Lizaigne, 30 octobre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection d’Issoudun) ; Sainte Lizaigne, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Vin Bon, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Sainte Lizaigne, 9 fructidor an 9 (application de la loi du 8 pluviôse an 9). Démembrement réalisé par la loi du 2 avril 1912 : la section des Bordes, Cne de Sainte-Lizaigne, contribue à former la commune des Bordes. Église Sainte-Lizaigne ; depuis le concordat de l'an 10 : église Saint-Jean. Civitas Biturigum.
Saint Lomer. Variante : Saint Laumer.
28 Saint-Lomer. Cne de Luisant. Saint Lomer, 1826 (Cadastre). Saint Laumer, patron de la paroisse de Luisant.
28 Petit-Saint-Lomer. Cne de Luisant. Petit Saint Lomer, 1826 (Cadastre).
41 Saint-Lomer. Cne de Thenay. Saint Lomer, 1808 (Cadastre) ; Saint Lomer, 1968 (Cadastre).
Sainte Lorette. Latin laurus = laurier.
18 Rue de Sainte-Lorette. Cne du Châtelet. Rue de Sainte Lorette, 1967 (Cadastre).
18 Sainte-Lorette. Cne de Jars. Sainte Lorette, locature, 1834 (Cadastre) ; Sainte Lorette, 1847 (B.N.-Ms Français 9844) ; Sainte Lorette, 1953 (Cadastre).
18 Sainte-Lorette. Cne du Châtelet. Sainte Lorette, 1812 (Cadastre) ; Sainte Lorette, 1967 (Cadastre).
37 Sainte-Lorette. Cne de Courcoué. La maison appellée Sainte Laurette, joignant du couchant au sentier de Courcoué pour aller aux Gripes et du Nord au chemin de Courcoué à Richelieu, 4 avril 1791 (A.D. 37-1 Q 87, P.V. 89. Biens Nationaux). Dépendance de la Chapelle Notre-Dame de Lorette, desservie dans l’église paroissiale de Courcoué.
Saint Lorian. Variante : Saint Laurian.
Saint Lot. Sanctus Laudus. Variante de Saint Lô, Laudon, évêque de Coutances en 528, mort vers 568. Acta Sanctorum, septembre, VI, 438. Fête : 22 septembre.
28 Le Saint-Lot. Cne de Denonville. Le Saint Lot, 1813 (Cadastre).
28 Saint-Lot. Cne du Boullay-Mivoye. Sanctus Laudus, 1300 (B.M. de Chartres, Ms 24, Polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Saint Lot, paroisse du Boullay Mivoye, 1474-1686 (A.D. 28-G 133) ; Terrier de la seigneurie de Saint Lot pour Jean Gendron, chanoine prestrier, 1530 (A.D. 28-G 1248) ; Déclarations du fief Saint Lot, 1620 (A.D. 28-G 1247) ; Mrs de Chapitre ont esté reçuz en foy pour raison du fief de Saint Lo tenu en fief de la seigneurie de Nuisement, 20 juillet 1623 (A.D. 28-G 907, fol. 1) ; Monsieur Oudineau, chanoine, est homme vivant et mourant pour le fief de la Chapelle Saint Lo soubs le Maige de Fouville, tenu en fief de Monsieur de Mezières à cause son fief du Nuisement, 20 juillet 1623 (A.D. 28-G 907, fol. 3 r°) ; Terrier de la seigneurie de Saint Lot, 1626 (A.D. 28-G 1249) ; Terrier de la seigneurie de Saint Lot, 1641 (A.D. 28-G 1250) ; Déclarations passées à la seigneurie et fief de Saint Lot, situé au Fonville, paraisse du Boullay Mivoye, 1603 (A.D. 28-G 1260) ; Terrier du fief de Saint Lot, 1710 (A.D. 28-G 1261) ; Terrier de la censive de Saint Lot, située entre le Fonville et Charpont, 1752 (A.D. 28-G 1262) ; Saint Lot, 1834 (Cadastre) ; Saint Lot, 1933 (Cadastre). Fief. Note sur la garde du registre G 1261 : en 1596 les chanoines rendirent foi et hommage à Hélène Bonne, veuve de Charles de Balsac, dame de Mézières, pour raison du fief de Saint-Lot, relevant de la seigneurie de Nuisement ; mais, sur rappel de Jean de Raimbert, seigneur de Puiseux, il fut reconnu que ce fief relevait du fief des Vallées-de-Charpont.
Saint Louand. Sanctus Lupantius. Moine de l’abbaye de Mesmin, à Micy, Loiret, VIIe s., il édifia près de Chinon un oratoire dans lequel il fut inhumé. Acta Sanctorum, octobre, t. IX, 101. Fête : 22 octobre.
37 Rue de Saint-Louand. Cne de Chinon. Saint Louand : VC n° 21, dit de Saint Louand aux Closeaux, du CD 301 au CR 24, Rue de Saint Louand, 4 mars 1986 (Délibération du Conseil Municipal).
37 Saint-Louand. Cne de Chinon. Locellum in suburbio Caynonensis castri situm, ubi Sanctus Lupantius requiescit, vers 973 (Dom Housseau, t. I, n° 215) ; Locum Sancti Lupantii apud Kainonem, 1037 (Thesaurus Anecdotorum) ; Sanctus Loantius, 1188 (Testament de Geoffroy de Beauvoir) ; Gualdus Huonis, parochianus Sancti Loencii, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 13) ; Dominus Gaufridus Roille, miles, de parrochia Sancti Loencii, Turonensis Dyocesis, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 114) ; Gaufridus Roile, parrochianus Sancti Loencii, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 143) ; Mychael Gauterau et Guillotus Gauterau, de Sancto Loencio, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 446) ; Agatha, relicta defuncti Guillermi Troesart, de parrochia Sancti Loencii, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1000) ; Mathaeus, Boterii, parrochianus Sancti Loencii, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1062) ; Haymericus Moreau, parrochianus Sancti Loencii, 1247 (A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 1027) ; Sainct Louan, mai 1452 (A.N.-JJ 181, n° 100, fol. 55) ; Guillaume Gervaise dict Adenet, laboureur à Sainct Louans, février 1455 (A.N.-JJ 191, n° 91, fol. 48) ; Sainct Louand, septembre 1491 (A.N.-JJ 222, n° 184, fol. 77) ; Mariage d’Urbain Suart avec Perrine Sivray, estantz les dessusd. en la dernière année de tiercerie dè Saint Louand, l’année de Beaumont [en Véron] commencera à la feste de Saint Clémens, 20 juil. 1603 (A.C. de Beaumont-en-Véron-GG 1) ; Délimitations des paroisses de Saint Louand, Beaumont, Savigny et Avoine, 1790 (A.C. de Beaumont-en-Véron-DD 1, fol. 209 à 217) ; Saint Louand, 1837 (Cadastre) ; Saint Louand, 1967 (Cadastre). Commune située sur les rives droite et gauche de la rivière de la Vienne, supprimée par décret de l'Assemblée Nationale du 24 juin 1792 (A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 3) et partagée par arrêté du District de Chinon du 14 décembre 1792 entre celles de Beaumont-en-Véron, Chinon, Cinais et Huismes. La commune de Chinon reçut : le bourg de Saint-Louand, Bourg Neuf, la partie Nord-Ouest des Fontenils, le Grand Ballet, la Guetterie, les Lysardières, les Mollières, les Petites Croix, la Pommadière, la Rochelle, et la partie à l’Est de la rivière du Négron, Pontille et Sauvegrain. La commune de Beaumont-en-Véron reçut : la Berruserie, la Boulaie, la Camusterie, le Carroi Ragueneau, les Caves aux Fièbres, Cigny, le Colombier, les Coudreaux, Coulaine, le Cruchon, Danzay, la Durandière, la Férandière, la Giraudière, Grésille, la Haute Rue, Isoré, la Maçonnerie, la Meslaie, le Patois, la Pénezais, Pontourny, la Rue Saint Père, Saint Jérôme, Turpenay. La commune de Cinais reçut : la Giraudière, les Granges, la Tourette et le surplus de Pontille à l’Ouest de la rivière du Négron. La commune d’Huismes reçut la partie au Sud du ruisseau de la Riasse, soit la Cloirgeauderie, le Moulin de Fromentière, le Moulin du Chêne, le Moulin de Thaie, le Petit Bois, Ribot et la Tourterie. Suppression réalisée de Saint Louand, lettre du Ministre de l’Intérieur du 2 février 1807 (A.N.-F 2 II Indre-et-Loire 3) : le décret du 24 juin 1792 pris en application de la loi du 24 novembre 1790 sur la Constitution civile du Clergé, ordonna la suppression de la paroisse de Saint Louand, et non la municipalité ; dans sa lettre du 9 décembre 1806, le préfet d’Indre-et-Loire s’en inquiéta auprès du Ministre de l’Intérieur ; peu soucieux de rouvrir le dossier, le Ministre répondit que la loi du 28 pluviôse an 8 en avait consacré la suppression en déclarant qu’il y aurait une municipalité dans les communes ayant un agent municipal et un adjoint ; le territoire de Saint Louand n’en ayant point, il fallait intériner la situation. Église et prieuré Saint-Louand. Civitas Turonum.
Saint Louis. Sanctus Ludovicus. Germanique hlod = gloire et wig = combat. Roi de France de 1226 à 1270, décédé à Tunis. Acta Sanctorum, août, t. V, 275. Fête : 25 août.
18 Impasse Saint-Louis. Cne de Bourges. Impasse Saint Louis, 1967 (Cadastre).
18 Rue Saint-Louis. Cne de Mehun-sur-Yèvre. Rue Saint Louis, 1998 (Cadastre).
18 Rue Saint-Louis. Cne de Sancoins. Rue Saint Louis, 1963 (Cadastre).
18 Saint-Louis. Cne de Menetou-Couture.
18 Saint-Louis. Cne de Saint-Hilaire-de-Gondilly. Saint Louis, 1835 (Cadastre) ; Saint Louis, 1939 (Cadastre).
18 Saint-Louis. Cne de Sury-en-Vaux. Saint Louis, 1820 (Cadastre) ; Saint Louis, 1963 (Cadastre).
28 Place Saint-Louis. Cne de Chartres. Place Saint Louis, juillet 1970 (Délibération du Conseil Municipal).
28 Saint-Louis. Cne de Méréglise. Saint Louis, 1823 (Cadastre) ; Saint Louis, 1936 (Cadastre).
36 Rue Saint-Louis. Cne d’Issoudun. Rue Saint Louis, 1837 (Cadastre).
36 Saint-Louis. Cne de Neuvy-Saint-Sépulchre. Saint Louis, 1832 (Cadastre).
36 Saint-Louis. Cne de Prissac. Saint Louis, 1833 (Cadastre) ; Saint Louis, 1959 (Cadastre).
37 Rue Saint-Louis. Cne de Bléré. Rue Saint Louis, 1967 (Cadastre).
37 Saint-Louis. Cne d’Azay-sur-Cher.
37 Saint-Louis. Cne de Cléré-les-Pins. Le lieu, auberge et appartenance où pand pour enseigne l’Image Saint Louis, sittuée au village des Cormiers, susd. paroisse de Cléré, 24 juin 1715 (acte Courault-Langeais) ; L’auberge et dépendances nommé Saint Louis, aux Cormiers, commune de Cléré : 7 brumaire an 7 (acte Léger-Savigné sur Lathan).
37 Saint-Louis. Cne de Panzoult.
41 Place Saint-Louis. Cne de Blois. Place Saint Louis, 1810 (Cadastre) ; Place Saint Louis, 26 juillet 1833 (Délibération du Conseil Municipal de Blois) ; Place Saint Louis, 1957 (Cadastre). Le cadastre de 1810 note : Eglise Saint Louis, palais de la Préfecture ; celui de 1957 : Cathédrale Saint Louis, Hôtel de Ville. Place créée sur l’emplacement du cimetière de Saint-Solenne et achevée en 1770.
41 Saint-Louis. Cne de Chambon-sur-Cisse. Saint Louis, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Louis, 1810 (Cadastre) ; Saint Louis, 1947 (Cadastre).
41 Saint-Louis. Cne de Millançay. Saint Louis, 1828 (Cadastre) ; Saint Louis, 1939 (Cadastre).
45 Saint-Louis. Cne de Cepoy. Saint Louis, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Cassini note : chapelle.
41 Saint-Louis. Cne de Saint-Avit. Saint Louis, 1812 (Cadastre) ; Saint Louis, 1955 (Cadastre).
45 Place Saint-Louis. Cne de Gien. Place du Martroi ; Place de la Belle Croix ; Place Saint Louis : Place des Alliés, 1918 (Délibération du Conseil Municipal) ; Place Saint Louis, 1970 (Cadastre). Les Gienois conservèrent le nom de place Saint-Louis et les Alliés disparurent. Centre ville.
45 Saint-Louis. Cne de Nibelle. Saint Louis, 1816 (Cadastre) ; Saint Louis, 1966 (Cadastre).
45 Rue Saint-Louis. Cne de Gien. Rue Saint Louis, 1998 (Cadastre).
Sainte Louise. Louise de Marillac. Née à Paris le 12 août1591, co-fondatrice des Sœurs de la Charité, avec saint Vincent de Paul, mort le 15 mars 1660. Fête : 15 mars.
18 Rue Sainte-Louise. Cne de Bourges. Mazières, 1814 (Cadastre) ; Quartier de Mazières, 1967 (Cadastre) ; Rue Sainte Louise, 1998 (Cadastre).
Saint Loup. Variante : Saint Leu. Sanctus Lupus. L’accusatif Lupum = loup aboutit régulièrement à Leu ou à Lou. La forme Loup est due à une réaction étymologique. Évêque de Sens en 609, mort en 623. Acta Sanctorum, septembre I, 248. Fête : 1er septembre.
Saint Loup employé absolument
18 Saint-Loup. Cne de Chezal-Benoît. Saint Loup, paroisse de Dampierre, XVIIIe s. ; Saint Loup, 1827 (Cadastre).
18 Saint-Loup. Cne de Cogny. La Grange de Saint Loup, 1400 (A.N.-P 133, fol. 25) ; Le villaige de Sainct Loup, 1572 (A.D. 18-E, seigneurie de Contres) ; La terre et châtellenie de Saint Loup, 1637 (A.D. 18-C, Bureau des Finances de Bourges) ; Le château, domaine et métairie de Saint Loup, 1705 (A.D. 18-E, seigneurie de Contres) ; Le domaine de la Cour de Saint Loup, 1766 (A.D. 18-B, bailliage de Dun-le-Roi) ; La terre et seigneurie de Saint Loup, 1779 (A.D. 18-B 2571) ; Saint Loup, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Loup, domaine, locature, 1831 (Cadastre) ; Saint Loup, 1847 (B.N.-Ms Français 9844) ; Saint Loup, 1933 (Cadastre). Chapelle Saint-Loup. Fief démembré de Boisbuard, mouvant de la Grosse Tour de Dun-le-Roi.
28 Saint-Loup. Cne de La Bourdinière-Saint-Loup. De Capella Sancti Lupi, 1215-1761 (A.D. 28-G 136, 2619) ; Sanctus Luppus, 1348 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres, revenu du petit compte) ; La Chapelle Saint Loup, 1382 (A.D. 28-E 972, Aveu de Pierre-Coupe) ; Sainct Lou, décembre 1407 (A.N.-JJ 162, n° 85, fol. 73) ; Sainct Lou, septembre 1409 (A.N.-JJ 163, n° 466, fol. 260 v°) ; Saint Lou, 1463 (A.D. 28-H, Léproserie du Grand-Beaulieu) ; Terrier de Saint Loup, 1615 (A.D. 28-G 2599) ; La Chapelle Saint Loup, 1740 (B.M. d’Orléans, Ms 995, fol. 100) ; Saint Loup, 15 mars 1783 (acte Pichot-Chartres) ; Saint Loup, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Terre située à Saint Loup, dépendant ci devant de la Chapelle de la Belle Verrière en l’Église de Chartres, 4 avril 1791 (A.D. 28-1 Q 2, P.V. 61 n° 482. Biens Nationaux) ; Loup en Vallée, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Saint Loup Village, 1827 (Cadastre de Saint-Loup) ; Saint Loup, 1959 (Cadastre de Saint-Loup) ; La Bourdinière Saint Loup, arrêté préfectoral du 6 novembre 1972. Réunion réalisée de Boisvillette d’avec Saint-Loup sous le nom de La Bourdinière-Saint-Loup, par Arrêté Préfectoral du 6 novembre 1972. Église Saint-Loup. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.
36 Saint-Loup. Cne de Thevet-Saint-Julien. Procès pour paiement à l’abbé de Varennes de rentes dues sur la métairie de Saint Loup, 27 mai 1677 (A.D. 36-1 B 359) ; Procès verbal des réparations à effectuer à la métairie de Saint Loup appartenant à l’abbaye de Varennes, 7 septembre 1694 (A.D. 36-2 B 38) ; Procès entre Silvain Lesnel, curé de Saint Julien de Thevet, et Pierre Bonnin, laboureur, au sujet de la propriété d’un domaine sis à Saint Loup, 16 septembre 1724 (A.D. 36-1 B 531) ; Le domaine de Saint Loup, 30 avril 1791 (AD. 36-2 Q. Biens Nationaux) ; Saint Loup, 1841 (Cadastre) ; Saint Loup, 1938 (Cadastre).
37 Saint-Loup. Cne de Brèches. Saint Loup, 1810 (Cadastre).
37 Saint-Loup. Cne de Saint-Pierre-des-Corps. Led. fief [de Saint Loup] sittué parroise de Saint Pierre des Corps de cette ville de Tours, dans la Varenne, vers 1750 (A.D. 37-H 507) ; Autre jugement d’assises qui condamne le Sr Michel Fortier faire et rendre ses obéissances féodalles des héritages qu’il possède au fief de Saint Loup, du 20 juillet 1620, parchemin signé Cosnier, greffier, cotté charte 14 (A.D. 37-H 507) ; Saint Marc, 1811 (Cadastre). Fief.
41 Saint-Loup. Cne de Mur-de-Sologne. Usque ad metas Sancti Lupi, 11 août 1263 (Cartulaire du Lieu Notre-Dame, p. 116) ; Saint Loup, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Loup, 1835 (Cadastre) ; Saint Loup, 1937 (Cadastre).
41 Saint-Loup. Cne de Saint-Viâtre. Saint Loup, 1832 (Cadastre) ; Saint Loup, 1938 (Cadastre).
41 Saint-Loup. In parrochia de Sancto Lupo, 1216 (A.D. 41-45 H 23) ; Sainct Loup sur Cher, juillet 1355 (A.N.-JJ 84, n° 195, fol. 110) ; Saint Loup sur Cher, juillet 1488 (A.N.-JJ 219, n° 140, fol. 86) ; Saint Loup, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 215) ; Saint Loup sur Cher, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Montauloup, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Église Saint-Loup. Civitas Biturigum.
45 Rue de Saint-Loup. Cne d’Amilly. Ruelle de Saint Loup, 1969 (Cadastre) ; Rue de Saint Loup, 1969 (Cadastre).
45 Saint-Loup. Cne d’Amilly. Saint Loup, 1824 (Cadastre) ; Saint Loup, 1969 (Cadastre).
45 Saint-Loup. Cne de Beaugency. Saint Loup, 1828 (Cadastre).
45 Saint-Loup. Cne de Boulay-les-Barres. Saint Loup, 1812 (Cadastre).
45 Saint-Loup. Cne de Charsonville. Saint Loup, 1829 (Cadastre).
Saint Loup suivi d’un nom de lieu
18 Saint-Loup-des-Chaumes. Sanctus Lupus, 1182 (A.D. 18-8 H 38) ; Villa de Sancti Lupi, 1202 (A.D. 18-8 H 38) ; Parrochia Sancti Lupi, 1282 (A.D. 18-8 H 38) ; De censa Sancti Lupi, XIIIe s. (A.D. 18-G 3, Pouillé de Bourges, p. 16) ; La parroisse de Saint Loup, 1344 (A.D. 18-E, seigneurie de Saint-Amand-Montrond) ; Le villaige de Sainct Loup des Chaulmes, 1532 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; Sainct Loup, paroisse limitrophe du Berry et du Bourbonnois [de l’élection de Saint Amand], 1569 (Nicolay, Description générale du Bourbonnais, p. 129, 189) ; Sainct Loup, 1569 (Nicolay, Description générale du Bourbonnais, p. 132) ; Saint Loup, 6 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de Saint-Amand-Montrond) ; Saint Loup des Chaumes, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Bel Air les Chaumes, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Bel Air les Chaumes, an 3 (A.N.-F1B II Cher 1). Chaumes, du bas latin calmis, d’origine préceltique, kal = pierre, rocher, hauteur dénudée. Réunion réalisée de Saint-Loup-des-Chaumes d’avec Rousson en 1792. Rousson = section D de Saint-Loup-des-Chaumes. Église Saint-Loup. Civitas Biturigum.
41 Petit-Saint-Loup. Cne de Mur-de-Sologne. Petit Saint Loup, 1835 (Cadastre) ; Petit Saint Loup, 1937 (Cadastre).
45 Saint-Loup-de-Gonois. Sanctus Lupus de Gonesio, ou in Gonosio, vers 1350 (Pouillé de Sens, p.48) ; Sainct Loup de Genois, août 1413 (A.N.-JJ 167, n° 148, fol. 227 v°) ; Sainct Loup de Gonnois, septembre 1498 (A.N.-JJ 230, n° 313, fol. 147) ; Saint Loup de Gonnois, 1697 (A.D. 45-G, Louzouer) ; Saint Loup, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 215) ; Saint Loup de Gonnois, 1761 (A.D. 45-g 2265, fragment du pouillé de Sens) ; Saint Loup de Gonnois, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Église Saint-Loup. Civitas Senonum.
45 Saint-Loup-des-Vignes. De Sancto Lupo, 1182 (M. Barroux, Chartes antérieures à saint Louis, conservées aux archives de la Seine, p.13) ; Sanctus Luppus in Vineis, mai 1281 (Olim, t. II, fol. 56 r°, n° 2550) ; Sainct Leu des Vignes, mars 1307 (A.N.-JJ 40, fol. 59, n° 117) ; Sainct Leu des Vignes, novembre 1381 (A.N.-JJ 119, n° 386, fol. 227) ; Saint Leu, 1411 (M. Prou, Les coutumes de Lorris, p. 174) ; Hommage de 12 livres tournois de cens dus au prieur de Lorris sur plusieurs héritages dans la paroisse de Saint Loup des Vignes, acquis par le defunt sieur de Chemault, du prieur de Lorris, suivant l’édit de Charles IX, rendu aux mains du chancelier par Guillaume Pot, chevalier, seigneur de Chemault, conseiller du Roi, prévost et maître des cérémonies de l’Ordre du Roi et son 1er valet tranchant, portant sa cornette, en son nom et en celui de ses frères, fils et héritiers de Jean de Pot, seigneur de Chemault, 8 janvier 1579 (A.N.-P 11, n° 142) ; Saint Loup des Vignes, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Église Saint-Loup. Civitas Senonum.
45 Saint-Loup-lez-Orléans. Cne de Saint-Jean-de-Braye. Lettres Patentes sur Arrest du Conseil du Roi du 22 octobre 1726, qui ordonne que le territoire et collecte de Saint Loup, Élection d’Orléans, sera réunie à la paroisse de Saint Jean de Braye à compter de la confection des rôles de1727, 26 novembre 1726 (B.N.-F 23.623, n° 498 ; F 21.104 n° 22) ; Saint Loup lès Orléans, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 212, 216) ; Saint Loup, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Église Saint-Loup-lez-Orléans.
Saint Loup précédé d’un adjectif qualificatif
41 Le Petit-Saint-Loup. Cne de Mur-de-Sologne. Petit Saint Loup, 1835 (Cadastre) ; Petit Saint Loup, 1937 (Cadastre).
45 Rue du Petit-Saint Loup. Cne d’Orléans. Rue du Petit Saint Loup, 1998 (Cadastre).
Saint Lubin. Sanctus Leobinus. Germanique leub, liub = cher, aimé, et suffixe ins pour former les noms. Originaire de Poitiers, moine à l'abbaye de Ligugé, évêque de Chartres, présent aux conciles d'Orléans en 549 et de Paris en 551, mort le 14 mars 556. Acta Sanctorum, mars, II, 349. Fête : 14 mars.
Saint Lubin employé absolument
28 Rue Saint-Lubin. Cne de Chartres. Rue Saint Lubin, mars 1957 (Délibération du Conseil Municipal).
28 Rue Saint-Lubin. Cne de Châteaudun. Prolongement de la Grande Rue jusqu’en 1723 ; Rue Saint Lubin, 7 décembre 1723 (A.C. de Châteaudun, Plan de Michel Jules Hardouin) ; Rue Voltaire, 2 pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Rue Saint Lubin, 25 pluviôse an 3 (Délibération du Conseil Municipal).
28 Rue Saint-Lubin. Cne de La Loupe. Rue Saint Lubin, 1998 (Cadastre).
28 Rue Saint-Lubin. Cne de Voves. Rue Saint Lubin, 1990 (Cadastre).
28 Saint-Lubin. Cne de Chartres. Saint Lubin, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
28 Saint-Lubin. Cne de Cloyes-les-Trois-Rivières. Saint Lubin, 1833 (Cadastre) ; Saint Lubin, 1963 (Cadastre de Cloyes-sur-le-Loir) ; Place Saint Lubin. Ce lieu-dit rappel le nom de l’église paroissiale Saint-Lubin Commune de Cloyes-sur-le-Loir.
28 Saint-Lubin. Cne de Voves. Bail du manoir de Saint Lubin et de Saint Ignace, à Voves, 1545 (A.D. 28-E 2648).
28 Saint-Lubin. Cne des Corvées-les-Yys. Adjudication au rabais des réparations à faire au château, terres et seigneurie de Saint Lubin, 1695 (A.D. 28-B 2723) ; Saint Lubin, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Lubin, 1833 (Cadastre des Corvées) ; Saint Lubin, 1957 (Cadastre). Cassini note : chapelle.
37 Saint-Lubin. Cne de Saint-Pierre-des-Corps. Le lieu et métairie de Saint Lubin, 1789 (A.D. 37-G 174).
37 Saint-Lubin. Cne de Saint-Règle. Hommage du fief, terre, seigneurie et domaine de Saint Lubin, rendu au chancelier par Louis Savary, 16 décembre 1486 (A.N.-P 11, n° 346) ; Hommage du fief, terre et seigneurie de Saint Lubin, mouvant du Chasteau d’Amboise, rendu au chancelier par Pierre de Courgain, chevalier, seigneur de Cangé, l’un des 100 gentilshommes de l’Hostel, 3 février 1518 (A.N.-P 12, n° 3) ; Hommage des terre et seigneurie de Saint Lubin, mouvant d’Amboise, rendu au chancelier par Louis Du Bois, escuyer, seigneur des Arpentis, 19 octobre 1534 (A.N.-P 12, n° 75) ; Le fief de Sainct Lubin, parroisse Sainct Réelle, 31 janvier 1536 (A.D. 37-C 634 n° 76) ; Hommage de la terre de Saint Lubin, par Louis Du Bois, 9 avril 1535 (A.N.-P 12, n° 76) ; Hommage lige des fief, terre et seigneurie de Saint Lubin, mouvant du Chasteau d’Amboise, rendu au garde des Sceaux par Louis Du Bois, escuyer, seigneur des Arpentis, 17 novembre 1542 (A.N.-P 12, n° 95) ; Hommage lige des fief, terre et seigneurie de Saint Lubin, rendu au chancelier par Louis Du Bois, panetier du Roi, 27 juin 1548 (A.N.-P 12, n° 112) ; Hommage des fief, terre et seigneurie de Saint Lubin, rendu au garde des Sceaux, par Louis Du Bois, fils et héritiers de Louis Du Bois, 11 janvier 1553 (A.N.-P 12, n° 135) ; Hommage des fief, terre et seigneurie de Saint Lubin, rendu par Louis Du Bois, chevalier, 26 août 1567 (A.N.-P 12, n° 176) ; Hommage de la terre et seigneurie de Saint Lubin, rendu par Valentin Lefebvre, fils et héritier de François Lefebvre, seigneur du Plessis et de Saint Lubin, 4 juillet 1605 (A.N.-P 12, n° 228) ; Alexandre Tournier, sieur de Sainct Lubin, 19 octobre 1607 (A.C. d’Amboise-GG 11, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; Françoise Dudot, veuve d’Alexandre Tournier, sieur de Saint Lubin, exempt des gardes du corps du Roi, 21 aout 1610 (A.C. d’Amboise-GG 11, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; Nicolas Lefranc, sieur de Saint Lubin, 30 octobre 1622 (A.C. d’Amboise-GG 12, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; François Tournier, sieur de Saint Lubin, 4 décembre 1635 (A.C. d’Amboise-GG 13, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; François Tournier, sieur de Saint Lubin et du Bruslet, demeurant au dit lieu de Saint Lubin, à Saint Règle, 10 juillet 1636 (A.C. d’Amboise-GG 13, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; Saint Lubin, XVIIe s. XVIIIe s. (A.D. 37-C 555, 603, 651, 663 ; E 26, 30, 31, 35, 49, 51) ; Le fief Saint Lubin, paroisse Saint Reigle, vers 1740 (A.D. 37-C 633, état du domaine d’Amboise) ; Le fief de Saint Lubin, situé paroisse de Saint Règle, tenu à foy et hommage du Roy à cause de lad. baronie d’Amboise, vers 1775 (A.D. 37-A 7, fol. 390 v°) ; Saint Lubin, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La métairie de Lubin, scituée commune de Règle la Masse, 22 brumaire an 3 (A.D. 37-1 Q 25, P.V. 20 n° 4. Biens Nationaux) ; Saint Lubin, 1808 (Cadastre). Bien National. Fief mouvant d’Amboise.
41 Rue Saint-Lubin. Cne de Blois. Rue Saint Lubin, 1278 ; Une maison assise en la ville de Blois, en la paroisse de Saint Sauveur, en la rue par laquelle on va de la Porte Saint Lubin à la Fontaine de l’Arciz, 20 décembre 1457 (Cartulaire de Blois, charte 60, p. 167) ; Rue à aller de la Fontaine au Foix Saint Laumer, 1486 ; Rue par laquelle on va de la Fontane de l’Arcis à la Porte Saint Lubin, 1500 ; Rue Saint Lubin, 1526 ; Rue allant du Carroy de la Fontaine de l’Arcis à la Porte du Foix, 1527 ; Rue Saint Lubin, 1559 (A.D. 41-G 72) ; Rue Saint Lubin, 1581 ; Grande Rue Sant Lubin, 1611 ; Rue Saint Lubin autrement dite du Temple, 1640 ; Rue Saint Lubin, jusqu’à la Porte du Foix, largeur 21 pieds, 15 septembre 1774 (A.N.-F 2 II Loir-et-Cher 2) ; Rue Saint Lubin, 1810 (Cadastre) ; Rue Saint Lubin, 26 juillet 1833 (Délibération du Conseil Municipal de Blois) ; Rue Saint Lubin, 1957 (Cadastre). Largeur homologuée par arrêt du dimanche 26 juillet 1778 (A.N.-E 2546, fol. 60-61). Située au pied de l’enceinte et hors la ville, l’église Saint-Lubin aurait été donnée aux bénédictins de Saint-Laumer par le roi Raoul pour y élever leur abbaye. Faubourg du Foix.
41 Rue Saint-Lubin. Cne de Mer. Rue Saint Lubin, 1998 (Cadastre).
41 Saint-Lubin. Cne de Prénouvellon. Saint Lubin, 1836 (Cadastre) ; Saint Lubin, 1934 (Cadastre).
45 Saint-Lubin. Cne d’Yèvre-la-Ville. Saint Lubin, 1812 (Cadastre d’Yèvre-le-Châtel).
Saint Lubin suivi d’un qualificatif
Cinq Fonts.
28 Saint-Lubin-des-Cinq-Fonts. Cne d’Authon-du-Perche. Sanctus Leobinus de Quinque Fontibus, 1131 (Cartulaire de Thiron, t. 1) ; Saint Lubin des Cinq Fonds, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 217) ; Saint Lubin des Cinq Fonds, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Cinq Fonts ou Lubin, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Saint Lubin des Cinq Fonts, 1837 (Cadastre) ; Saint Lubin des Cinq Fonts, 1958 (Cadastre). Réunion réalisée de Saint-Lubin-des-Cinq-Fonds d’avec Authon-du-Perche par Ordonnance Royale du 15 février 1836 (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 1, plan annexé à la minute). La commune de Saint-Lubin-des-Cinq-Fonts correspond à la section A de celle d’Authon-du-Perche. Église Saint-Lubin. Pagus Carnotensis. Civitas Carnotum.
Cravant.
28 Saint-Lubin-de-Cravant. Quicquid habebat Ernaldus apud Crevant dimisit Ecclesiae Columbensi, excepti feodi, août 1108 (Actes de Philippe 1er, n° 162, p. 404, cf A.D. 28-H 124, p. 379) ; Craventum, 1285 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Saint Lebin de Cravent, 1339 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Saint Lubin de Crevant, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Cravant sur la Meuvette, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Église Saint-Lubin. Civitas Durocassum.
Étang.
28 Saint-Lubin-des-Étangs. Cne de Saint-Victor-de-Buthon. Jean Gruel, sieur de Saint Lubin des Estangs, 1540 ; Charlotte Gruel, dame de Saint Lubin des Estangs, 1560 ; Saint Lubin des Étangs, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Fief.
Haye.
28 Saint-Lubin-de-la-Haye. Sainct Lubin de la Haye, novembre 1414 (A.N.-JJ 168, n° 17, fol. 13) ; Saint Lubin de la Haye, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Lubin et Saint Sulpice de la Haye, 1790 ; Lubin la Haye, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Lubin et Sulpice, an 2-an 5 (dans quelques actes officiels). La commune de Saint-Lubin-de-la-Haye résulte de la fusion de 2 paroisses : Saint-Lubin-de-la-Haye et Saint-Sulpice-de-la-Haye, séparées par la rivière de la Vesgre, qui formaient une collecte ; Saint Sulpice, rive droite, et Saint-Lubin, rive gauche, réunies en l’an 2 sous le nom de Saint-Lubin-de-la-Haye. Église Saint-Lubin. Pagus Pissiacensis. Civitas Carnutum.
Isigny.
28 Saint-Lubin-d’Isigny. Cne de Logron. Isigniacum, vers 1080 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres, p.) ; Ysigniacum, 1270 (A.D. 28-G, La Madeleine de Châteaudun) ; Sanctus Leobinus de Isinaco, 1280 (A.D. 28-G, La Madeleine de Châteaudun) ; Saint Lebin d’Erriny, 1599 (A.D. 28-E, Comté de Montboissier) ; Saint Lubin d’Essigny, 1626 (A.D. 28-G, Gohory) ; Saint Lubin d’Esigny, 1674 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Avit de Châteaudun) ; Saint Lubin de Signy, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 217) ; Isigny Saint Lubin, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Isigny, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Réunion réalisée de Saint-Lubin-d’Isigny par Ordonnance Royale du 6 mars 1828 d’avec Logron, qui en reçoit le bourg, sections A, B et C, soit 1230 ha, et de Marboué, qui reçoit les sections D et E, soit 640 ha (A.N.-F 2 II Eure-et-Loir 2, plan annexé à la minute). Église Saint-Lubin. Pagus Dunensis. Civitas Carnutum.
Joncheret.
28 Saint-Lubin-des-Joncherets. Sanctus Leobinus juxta Nonnencuriam, vers 1102 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Sanctus Leobinus, 1274 (A.D. 28-H, Léproserie du Grand-Beaulieu) ; Saint Leobin des Joncheroiz, vers 1320 (B.M. de Chartres, Ms 20, Le Livre Rouge) ; Saint Lubin des Juncherez, 1407 (A.D. 28-H, Léproserie du Grand-Beaulieu) ; Saint Lubin les Joncherets, XVIIIe s. (Carte de Cassini). La paroisse religieuse comprenait 3 collectes. Le qualificatif Joncherets vient du latin juncaria = joncheraie et du suffixe diminutif ittum ; il peut signifier lieu où pousse le jonc ou un nom d’homme. La Loi du 27 thermidor an 7 transféra le siège de l’administration municipale du canton de Saint-Lubin-des-Joncherets dans la commune de Laons, dont il prit le nom. Église Saint-Lubin. Civitas Durocassum.
Prés.
41 Saint-Lubin-des-Prés. Cne de Fréteval. Sanctus Leobinus de Moreia, 1045 (Cartularium Dunense, charte 35, p. 27) ; Placitum inter monachos Majoris Monasterii et monachos Bonae Vallis, de parrechia Sancti Leobini de Moreis, De parrechia Moreiarum quae dicitur Sancti Leobini, 1097 (Cartularium Dunense, charte 155, p. 143) ; Sanctus Leobinus de Pratis, 1498 (Cartulaire Blésois de Marmoutier, charte 400, bulle d’Alexandre VI) ; Saint Lubin des Prés, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 217) ; Saint Lubin des Prés, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Prés Lubin, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2) ; Saint Lubin, 1832 (Cadastre) ; Saint Lubin, 1937 (Cadastre). Réunion réalisée de Saint-Lubin-des-Prés d’avec Fréteval par Décret impérial du 29 janvier 1811 (A.N.-F 2 II Loir-et-Cher 1). Église et prieuré Saint-Lubin. Pagus Vindocinensis. Civitas Carnotum. Menhir.
Vergonnois.
41 Saint-Lubin-en-Vergonnois. Villa Gabrium de ratione Sancti Leobini, in pago Blesensi et in vicaria Everdunensi, mai 865 (Dom Housseau, t. I, n° 89 ; Mabille, Introduction aux Chroniques des comtes d’Anjou, pièce justificative n° 1) ; Sanctus Leobinus, 903 (Actes de Charles III le Simple, p. 99) ; Sainct Lubin de Vergonoys, mai 1379 (A.N.-JJ 114, n° 324, fol. 166) ; Paroisse Saint Lubin de Vergongnois, mai 1412 (B. M. de Blois, Pièces originales n° 131, acquis en 1867) ; Sainct Lubin de la Lande, septembre 1466 (A.N.-JJ 202, n° 54, fol. 34 v°) ; Saint Lubin en Vergommois, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 216) ; Saint Lubin en Vergonois, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Lubin, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Vergonnois est une déformation d’Averdonnois : la paroisse se situait dans la viguerie d’Averdon. Église Saint-Lubin. Pagus Blesensis. Civitas Carnutum.
Saint Luc. Sanctus Lucas. Grec leukos = blanc, lumineux. Évangéliste. Acta Sanctorum, octobre, t. III, 82. Fête : 18 octobre.
28 Saint-Luc. Cne de Gallardon. Saint Luc, 1832 (Cadastre) ; Saint Luc, 1963 (Cadastre).
36 Place Saint-Luc. Cne de Châteauroux. Place Saint Luc, 1825 (Cadastre). Le nom de cette place provient de la chapelle Saint-Luc. Fief.
36 Rue Saint-Luc. Cne de Châteauroux. Chemin de Varennes, faubourg Saint Luc, 1825 (Cadastre) ; Rue Saint Luc, 1971 (Cadastre).
36 Saint-Luc. Cne de Chasseneuil. Saint Luc, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Luc, 1840 (Cadastre) ; Saint Luc, 1936 (Cadastre). Prieuré.
Sainte Lucie. Sancta Lucia. Dérivé latin de lux, lucem, = lumière. Lucie de Syracuse, vierge et martyre, à Syracuse, en 304, sous Dioclétien. Acta Sanctorum ont 8 saintes Lucie. Fête : 13 décembre.
18 Sainte-Lucie. Cne de Givardon. Sainte Lucie, 1836 (Cadastre) ; Sainte Lucie, 1933 (Cadastre).
Saint Lucien. Sanctus Lucianus. Latin lux = lumière, et suffixe anus pour former les noms. Apôtre et martyr, exégète, né à Samosate vers 235, mort à Antioche en janvier 312. Acta Sanctorum, janvier, I, 357. Fête : 7 janvier.
28 Saint-Lucien. Calziacum, vers 1110 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres, p. 587) ; Calgetum, 1126 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Calsetum, 1215 (Cartulaire Saint-Père-en-Vallée de Chartres) ; Chauzeium, Canzeum, fin XIIIe s. (B.M. de Chartres, Ms 52, Nécrologe de l’abbaye Saint-Père-en-Vallé de Chartres) ; Sanctus Lucianus de Calziaco, 1300 (A.D. 28-H, Prieuré Saint-Thomas d’Épernon) ; Changy, 1463 (A.D. 28-H, Prieuré Saint-Thomas d’Épernon) ; Saint Lutian, 1567 (A.D. 28-E, Terrier de Dancourt) ; Saint Lucien, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 217) ; Saint Lucien, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Lucien les Tables, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Le nom primitif de la paroisse est Calciacus, dont la forme aboutit régulièrement à Chaussy ou à Chouzy ; Lucien en est le saint patron. Val-de-Louvière était une annexe paroissiale de Saint-Lucien. Église Saint-Lucien. Pagus Carnotensis.Civitas Carnutum.
Saint Ludre. Sanctus Luxorius. Acta Sanctorum, août, IV, 414. Fête : 21 août.
Sainte Lunaise. Sancta Lineta.
18 Sainte-Lunaise. Sancta Linoya, 1209 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; Parrochia de Sancta Linea, 1209 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; Parrochia de Sancta Linoa, 1230 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; Saincte Linoye, 1380 (A.D. 18-C 811) ; Parrochia de Sancta Luneria, 1402 (A.D. 18-8 G, chapitre du Château-lès-Bourges) ; Le leu de Sainte Lunaise, 1466 (A.D. 18-12 G, chapitre de Châteauneuf-sur-Cher) ; La parroisse de Saincte Lunaye, 1472 (A.D. 18-8 H, abbaye de Noirlac) ; La parroisse de Saincte Lunoye, 1476 (A.D. 18-12 G, chapitre de Châteauneuf-sur-Cher) ; La parroisse de Sainte Lunays, 1490 (A.D. 18-5 G, chapitre de Montermoyen) ; Sainte Lunaise, Sancta Luneta, 1518 (A.D. 18-43 H, carmélites de Bourges) ; La parroisse de Saincte Lunaye, Saincte Lunaize, 1567 (Nicolas de Nicolay, Description générale de Berry, p. 85, 186) ; La paroisse de Sainte Lunaise, 12 janvier 1610 (La Thaumassière, Coutumes locales, p. 172) ; Sainte Lunaise, 14 novembre 1788 (A.D. 18-C 1109, Élection de Bourges) ; Sainte Lunaise, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Église Sainte-Lunaise. Civitas Biturigum.
Saint Luperce. Sanctus Lupercius. Nom formé sur Lupercus, nom du dieu Pan. Luperce est la forme savante. Martyr à Eaure, IIIe s. Acta Sanctorum, juin, V, 349. Fête : 28 juin.
28 Saint-Luperce. Nant, 1290 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Sanctus Lyperchius, 1300 (B.M. de Chartres, Ms 24, Polyptyque du chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Saint Liperce, 1384 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Jean-en-Vallée de Chartres) ; Nantum, 1404 (A.D. 28-G, Registre de l’officialité du chapitre Notre-Dame de Chartres) ; Sanctus Lipercius, 1439 (A.D. 28-H, Abbaye Saint-Jean-en-Vallée de Chartres) ; Saint Luperce sur Eure, 1470 (A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres) Saint Luperce, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 217) ; Saint Luperce, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Luperce sur Eure, pluviôse an 2 (Délibération du Conseil Général de la Commune, application du décret du 16 octobre 1793 = 25 vendémiaire an 2). Nant, dérivé du gaulois nantos = vallée, puis nom de rivière, ici l’Eure, est le nom primitif de cette paroisse, dont Luperce est le saint patron. Église Saint-Luperce. Pagus Carnotensis. Civitas Carnutum.
Saint Lyé. Variante : Saint Lié. Sanctus Laetus, Laetitius. Latin laetus = gras, puis joyeux, gai, cognomen latin. L’accusatif laetum aboutit régulièrement à Lié. Moine de l’abbaye de Micy-lez-Orléans, puis anachorète, mort en 533. Acta Sanctorum. Fête : 7 novembre.
45 Saint-Lyé-la-Forêt. De Sancto Leto, 1218 (Cuissard, Chartes originales de l’ancien Hôtel-Dieu d’Orléans, p. 298) ; Saint Lyé aux Loges, 1613 (A.D. 45-E seigneurie de Villereau) ; Saint Lyé, sur le vieux chemin d’Orléans à Paris, dans la forest d’Orléans, 1740 (B. M. d’Orléans, Ms 995, fol. 218) ; Saint Lié, 1768 (A.D. 45-P 1175) ; Saint Lié, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Saint Lyé la Forêt, Décret du 5 août 1919. Défrichement de la forêt d’Orléans. Église Saint-Lyé. Civitas Aurelianorum.