Couvent


Couvent suivi d’un nom d’ordre

Hospitalière-Visitation

Hospitalière. adj. 1174 et n. f. XIIIe s. Latin médiéval hospitalarius, bas latin hospitale, latin classique hospitalis = hôte, et suffixe à valeur collectif arius-aria. D'abord religieuse qui recueille et abrite des indigents ou des voyageurs ; début XVIIe s., religieuse que accueille les indigents et soigne les malades.
18 Le Couvent-des-Hospitalières-d’Aubigny-sur-Nère. Cne d’Aubigny-sur-Nère. Les Hospitalières d’Aubigny sur Nère, sorties de Vierzon en 16[blanc], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les Hospitalières d’Aubigny sur Nerre, sorties de Vierzon en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Hospitalières, paroisse d’Aubigny, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 42b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Châteauneuf. Cne de Châteauneuf-sur-Cher. Communauté des Hospitalières, paroisse de Châteauneuf, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 44b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Graçay. Cne de Graçay. Communauté des Hospitalières, paroisse de Graçay, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 45b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Nançay. Cne de Nançay. Communauté des Hospitalières, paroisse de Nançay, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 49b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Saint-Satur. Cne de Saint-Satur. Communauté des Hospitalières, paroisse de Saint Satur, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 49b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Sancerre. Cne de Sancerre. Communauté des Hospitalières, paroisse de Sancerre, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 50b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-des-Aix. Cne des Aix-d’Angillon. Communauté des Hospitalières, paroisse des Aix, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 46b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Veaugues. Cne de Veaugues. Communauté des Hospitalières, paroisse de Veaugues, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 48b).
18 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Vierzon. Cne de Vierzon. Les Hospitalières de Vierzon, fondées en 1632, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Procès au sujet d’une rente due par Gaspard de Potin, seigneur de Bagneux, aux hospitalières de Vierzon, 12 novembre 1692 (A.D. 36-2 B 291) ; Les Hospitalières de Vierzon, fondées en 1632, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Hospitalières, paroisse de Vierzon, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 48b) ; Suppression de la communauté des religieuses hospitalières de l'ordre de Saint Augustin de Vierzon ; réunion de leurs revenus à l'Hôtel Dieu de Vierzon, 1776 (A.D. 18-B 2967) ; Information de commodo et incommodo de la suppression des religieuses de Vierzon, et de la réunion de leurs biens à l'Hôtel Dieu de Vierzon, 1786 (A.D. 18-B 2863. Religieuses hospitalières attachées à l’Hôtel-Dieu ou Hôpital de Vierzon, en 1632.
18 Le Couvent-Saint-Barthélemy-des-Hospitalières-de-l’Hôtel-Dieu. Cne de Bourges. Les Hospitalières de l’Hôtel Dieu y furent établies en 1629, et elles sont situées dans la paroisse de Saint Médard, et leur chapelle est sous l’invocation de Saint Barthélemy, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 10) ; Les Hospitalières de Bourges, fondées en 1629, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Hospitalières, paroisse de Bourges, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 43b). Paroisse Saint-Médard.
36 Le Couvent-des-Hospitalières-d’Issoudun. Cne d’Issoudun. Communauté des Hospitalières, paroisse d’Issoudun, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 45b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Buzançais. Cne de Buzançais. Communauté des Hospitalières, paroisse de Buzançois, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 43b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Châteauroux. Cne de Châteauroux. Communauté des Hospitalières, paroisse de Châteauroux, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 43b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-La-Châtre. Cne de La Châtre. Communauté des Hospitalières, paroisse de La Châtre, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 46b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Levroux. Cne de. Communauté des Hospitalières, paroisse de Levroux, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 46b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Palluau. Cne de Palluau. Communauté des Hospitalières, paroisse de Palluaud, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 47b).
36 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Reuilly. Cne de Reuilly. Communauté des Hospitalières, paroisse de Reuilly, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 47b).
37 Le Couvent-des-Hospitalières-d’Amboise. Cne d’Amboise. Couvent des Hospitalières d’Amboise, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 177).
37 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Loches. Cne de Loches. Couvent des Hospitalières de Loches, archiprêtré de Loches, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 315).
45 Le Couvent-des-Hospitalières-de-Saint-Gondon. Cne de Saint-Gondon. Communauté des Hospitalières, paroisse de Saint Gondon, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 48b).

Ignorantin. n. m. Synonyme : Frère de Saint-Jean-de-Dieu ou Frère de la Charité. Voir Hôtel-Dieu de Bourges, Maison des Frères de la Charité de Selles-sur-Cher.

Jacobin. adj. et n. m. 1254. Bas latin Jacobus = Jacques, nom de personne d'origine hébraïque. Latin médiéval jacobinus, jacobus et suffixe diminutif inus. Religieux de l'ordre de Saint-Dominique, frères prêcheurs, d'où le synonyme dominicain, qui tire son nom du 1er couvent de l'ordre, implanté à Paris en 1218, près de la porte Saint-Jacques, rue Saint-Jacques, dans un hospice réservé aux pèlerins allant à Saint-Jacques de Compostelle. Synonyme : dominicain.
18 Le Couvent des Jacobins. Cne de Bourges. Fratribus Predicatoribus ejusdem loci [Bituricensibus], décembre 1243 (A.D. 18-6 H 71) ; Fratres Predicatores, 1244 (A.D. 18-8 G 1264) ; In domo Fratrum Praedicatorum Bituricensium, 11 octobre 1261 (La Thaumassière, Coutumes locales, p. 720) ; Fratres Predicatores, 1262 (A.D. 18-8 G 1959) ; Le Moutier au Jacopins, 1285 (A.D. 18-8 G 966) ; Une place sise à Bourges dans la rue qui va du Couvent des Jacobins à la Porte Neuve, mai 1317 (A.N.-JJ 53, fol. 81, n° 184) ; Le prieur et communauté des Jacobins de Bourges, novembre 1318 (A.N.-JJ 56, fol. 154, n° 345) ; Aux Jacobins de Bourges, 6 mai 1338 (A.N.-J 1117, vidimus du 6 mai 1344) ; Aux Frères Prescheurs de Bourges, 1569 (Nicolay, Description générale du Bourbonnais, p. 104) ; De l’Église et Convent des Frères Prescheurs, 1689 (La Thaumassière, Histoire de Berry, Livre II, ch. 28) ; Les Jacobins de Bourges, fondés en cette ville vers l’an 1239, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 84) ; Les Jacobins furent établis à Bourges en 1239 ; leur maison est située dans la paroisse de Notre Dame du Fourchaud, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 9) ; Le Couvent des Jacobins de Bourges, fondés en cette ville vers l’an 1239, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Jacobins, paroisse de Bourges, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 31b). Paroisse Notre-Dame-du-Fourchaud. Province de France. A.D. 18-33 H 1-20.
28 Le Couvent Saint-Jacques-le-Majeur-des-Jacobins. Cne de Chartres. Sepultus est ante majus altare dominus Guerinus, episcopus Carnutensis, 1376 (Obituaire de Sens, t. 2, p 312) ; Couvent des Jacobins, 1541 (A.D. 28-G 131) ; L’Église des Jacobins, 1657 (Mérian, Topographia Galliae, Chartres) ; Les Jacobins, vers 1670 (A.D. 28-coll. Jusselin, Chartres au chasseur, gravure) ; Les Jacobins, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; Les Jacobins, paroisse Saint André, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 5, 29) ; Le Couvent de Saint Jacques le Majeur, XVIIIe s. ; Inventaires du Couvent des Jacobins dressé par les officiers municipaux de la ville de Chartres, conformément aux Lettres patentes du Roi du 29 mars 1790, 1790 (A.D. 28-H 4160). Couvent fondé en 1231, sous l’invocation de Saint-Jacques-le-Majeur, par Jean de Châtillon, comte de Blois. Province de France. A.D. 28-H 4154-4160, 4971.
37 Le Couvent de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle-des-Jacobins. Cne de Tours. Couvent des Jacobins de Tours, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 170) ; Le Couvent de l’Annonciation des Jacobins, XVIIIe s. Fondé en 1222, sous l’invocation de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle, Province de France jusqu’en 1790 ; restauré en 1972, Province de Lyon ; réuni à la Province de France, 7 juillet 1997 (chapitres provinciaux des provinces de France et de Lyon). A.D. 37 H 663-670.
41 Le Couvent des Jacobins. Cne de Blois. Donation de l’église paroissiale de Saint Gervèse de Bormaison, du cimetière et de la maison du presbitère de cette église, faite au comte Jean de Châtillon pour lui permettre de fonder un couvent de Frères Prêcheurs, ladite donation faite par les frères de la Maison Dieu, patrons et recteur de l’église de Sain Gervais, avril 1274 (A.D. 41-29 H 1) ; Lettres de Jean de Châtillon, comte de Blois, concédant aux Frères Prêcheurs l’autorisation de faire bâtir leur couvent de Blois et d’acheter toutes les maisons nécessaires pour le faict dudict bastiment, 1277 (A.D. 41-29 H 13, fol. 12) ; Lettre de concession faite et donnée aux Prêcheurs par Louis, duc d’Orléans et comte de Blois, pour développer le cloître et le prédicatoire de leur maison conventuelle vers l’abbaye de Saint Lomer, 1486 (A.D. 41-29 H 13, fol. 11 v°) ; Inventaire des titres, papiers et enseignements du Couvent des Frères Prêcheurs de Blois, 1594 (A.D. 41-29 13) ; Plan de l’Église des Jacobins, 1642 (A.D. 41-29 H 7, pièce 8). Fondation du couvent des Jacobins par Jean de Châtillon, comte de Blois, en 1274. Province de France. A.D. 41-29 H 1-14.
45 Le Couvent des Jacobins. Cne d’Orléans. Les Jacobins, 1640 (Plan Fleury). Paroisse Saint-Michel. Province de France.

Minime. adj. et n. m. 1363. Latin minimus = le plus petit. D’abord employé comme nom féminin, avec le sens de minute, puis en 1445 en musique pour une note de moindre durée. Adjectivé en 1372, au sens de très petit. Nom de l’ordre fondé par saint François de Paule en 1475, pour le distinguer de celui des frères mineurs ou franciscains.
18 Le Couvent des Minimes. Cne de Dun-sur-Auron. Les Minimes de Dun le Roy, fondés par M. de Bussy en 16.., 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Le Couvent des Minimes de Dun le Roy, fondés par M. de Bussy, en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90). A.D. 18-35 H 1-22.
18 Le Couvent Saint-Jérôme des Minimes. Cne de Bourges. Les Minimes, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; Les Minimes de Bourges, fondés en 1617, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Les Minimes furent établis à Bourges en 1617 ; leur maison est située dans la paroisse de Saint Fulgent et leur église est sous l’invocation de saint Jérôme, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 9) ; Le Couvent des Minimes de Bourges, fondés en 1617, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Dépôt de mendicité, 1814 (Cadastre) ; Asile Départemental, 1905 (Plan de Bourges). Paroisse Saint-Fulgent. A.D. 18-34 H 1-17.
28 Le Couvent des Minimes. Cne de Chartres. Notes concernant la fondation d'un couvent des Minimes à Chartres par Yves Le Breton, chanoine de Chartres et prieur du Grand Beaulieu ; Consentement donne par les échevins et le Chapitre à l’établissement des Minimes à Chartres ;  Acquêt par les Minimes de la maison de la Treille, rue Saint André, près la ruelle aux Chevaux, pour y établir leur couvent, 1615-1651 (A.D. 28-G 131, 695) ; Donation par Yves le Breton, conseiller aumônier ordinaire du roi, prieur du Grand Beaulieu près Chartres, chanoine en l'Église Notre Dame de Chartres, aux religieux minimes représentés par Gilles Camart, provincial de la province de Touraine, François Rochelle, son collègue, Charles Mallet, prédicateur de l'ordre, de deux maisons et d'un jardin, situés au faubourg de la Porte Guillaume, le long de l'Eure, pour en ce lieu dresser et édiffier une petitte église et couvent dudict ordre des Minimes, en laquelle église ledict sieur fondateur désire qu'il y aict une chappelle ou aultel dédié à l'honneur de Dieu et de Sainct Jullian, evesque du Mans et diocesain et où il a esté chanoyne quinze ou seize ans et de Sainct Yves confesseur, son patron, 20 juin 1615 (A.D. 28-H 4218) ; Acte par lequel Yves le Breton promet de payer les 3.000 1. t. à la condition que les Minimes fassent édifier un couvent sur l'emplacement de la maison de la Treille et annule la donation du 20 juin 1615, 7 mai 1618 (A.D. 28-H 4219) ; Ratification des actes précédents par André Chamireau, provincial des Minimes, 11 juillet 1618 (A.D. 28-H 4219) ; Un jardin juxte et contigu le lieu de la Treille où est de présent basty et construict le couvent desdictz Minimes, 2 mai 1619 (A.D. 28-H 4221) ; Testament d'Yves le Breton portant donation aux Minimes de la maison et jardin ci-dessus désignés, de 300 livres pour achever leur église, de 600 pour parachever la chapelle que le testateur fait bâtir au convent des Minimes, 31 mai 1623 (A.D. 28-H 4220) ; L’Église des Minimes, 1657 (Mérian, Topographia Galliae, Chartres) ; Les Minimes, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; Les Minimes, paroisse Saint André, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 5, 30)  ; Procès verbal de l'état du Couvent des Minimes et inventaire de leurs biens, 23 avril-1er mai  1790 (A.D. 28-H 4225). Province de Touraine. A.D. 28-G 2962-2964, H 4218-4225, N 189 (plan, an 8). Paroisse Saint-André.
36 Le Couvent des Minimes. Cne d’Issoudun. Les Minimes d’Issoudun fondés en 1614, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Procédure faite à la requête du procureur du Roi contre les auteurs des troubles et profanations survenus dans les nuits du 26 au 27 mai et du 22 au 23 juin 1744 dans le cimetière et dans l’église des Minimes d’Issoudun, 28 mai 1744-27 janvier 1745 (A.D. 36-2 B 366) ; Le Couvent des Minimes d’Issoudun, fondé en 1614, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Les Minimes, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Minimes, 1837 (Cadastre). Couvent fondé en 1615.
36 Le Couvent des Minimes. Cne de Bommiers. Les Minimes de Boumiers ou Bommiers, fondés en 1507, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Louis Girard, prestre religieux minime, correcteur du couvent dud. Lieu de Bommiers, 1er juin 1736 (A.D. 18-Mi 23, t. 2, fol. 441) ; Le Couvent des Minimes de Boumiers ou Bommiers, fondés en 1507, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Les Minimes, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Le ci devant couvent des Minimes, 1er mars 1792 (A.D. 36-1 Q, P.V. n°. Biens Nationaux). Bien National. Couvent bâti en 1507 sur ordre de Jacques de La Trémouille, au lieu de Ville-Franche, et fondé le 26 octobre 1520.
37 Le Couvent des Minimes. Cne d’Amboise. L’Église des Minimes, 14 mars 1656 (A.D. 37-2 F5/2, fol. 365) ; Sépulture, à une heure après minuit, sur la demande des parents et pour certaine considérations, dans la cave où on place des minimes décédés, située dans leur église, en la chapelle de Saint François, de Jean Bergeron, sieur de la Goupillière, écuyer, maréchal des logis du Roi, décédé le 16, 17 avril 1691 (A.C. d’Amboise-GG 19) ; Frère Amable Aubry, supérieur des Minimes d’Amboise, 19 juillet 1773 (A.C. de La Chapelle-Blanche-GG 18) ; Couvent des Minimes d’Amboise, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 175) ; Les Minimes, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; L’église des Minimes, janvier 1792 (A.D. 37-L 137) ; Le couvent des cy devant minimes d’Amboise, 2 mars 1791 (A.D. 37-1 Q 9, P.V. 6, n° 7. Biens Nationaux) ; L’église des cy devant religieux minimes de la ville d’Amboise, située paroisse de Saint Florentin de lad. ville, 28 avril 1792 (A.D. 37-1 Q 14, P.V. 38, n° 1. Biens Nationaux). Paroisse Saint-Florentin. Bien National. Le couvent des minimes se trouvait rue de la Concorde. A.D. 37-H671-675. A.D. 41-39 H 1.
37 Le Couvent des Minimes. Cne de Champigny-sur-Veude. Les Minimes, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La maison des cy devant Minimes, située à Champigny, joignant le tout du levant à la grande route, du midy et couchant au parc de Mr de Richelieu, 7 mai 1791 (A.D. 37-1 Q 90, P.V. 190. Biens Nationaux) ; Les Minimes, 1836 (Cadastre) ; Le Grand Parc, 1939 (Cadastre). Bien National. A.D. 37-H676-679.
37 Le Couvent des Minimes. Cne de La Riche. Couvent des Minimes du Plessis, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 166) ; Les Minimes, 1808 (Cadastre) ; Les Minimes, 1962 (Cadastre). Cartulaire : B.N.-Ms Nouv. Acq. lat. 1938 (vidimus) ; B.M. de Toulouse-Ms 624. A.D. 37-H 680-695. A.D. 41-40 H 1.
37 Le Couvent Saint-Grégoire des Minimes. Cne de Tours. Frère Amable Aubry, supérieur des Minimes du couvent Saint Grégoire de Tours, 27 novembre 1782 (A.C. de La Chapelle-sur-Loire-GG 19) ; Couvent des Minimes de Tours, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 167) ; Hôtel des Minimes, 24 avril 1858, (Délibération du Conseil Municipal) ; Hôtel du Grand Commandement, 1970 (Cadastre). A.D. 37-H 696-698.
37 Le Couvent-des-Minimes. Cne de Saint-Épain. Couvent des Minimes de Mongauger ; archiprêtré de Lille Bouchard, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 444).
41 Le Couvent des Minimes. Cne de Blois. Inventaire des titres pour l’établissement du couvent des Minimes, 1613-1614 (A.D. 41-38 H 6, fol. 1-5) ; Donation du lieu du Colombier sis à Blois au Bourgneuf faite aux Minimes par Achille Herbelin, receveur général du taillon au pays de Bretagne et payeur de la Gendarmerie de France, 1614 (A.D. 41-38 H 1, pièce 1) ; Vicariat donné par les Minimes aux religieux du Prieuré de Saint Lazare de Blois pour le lieu du Colombier, dans lequel lesdits Minimes veulent établir un couvent de leur ordre, 1614 (A.D. 41-38 H 1, pièces 3-4) ; Closerie de Chambourdin où est bâti le couvent des Minimes, 1617 (A.D. 41-38 H 6, fol. 31-34) ; Michel Bégon pourra disposer de la chapelle du couvent des Minimes comme fondateur, la faire clore, mettre ses armes à la closture ett y fire creuser une voulte [caveau] qui luy servira de tombeau, 1637 (A.D. 41-38 H 1, pièce 11) ;. Transfert des reliques de saint Vital et de sainte Candide dans l’église des Minimes, 1655 (A.D. 41-38 H 6, fol. 9-11). A.D. 41-38 H 1-7.
45 Le Couvent des Minimes. Cne d’Orléans. Les Minines, 1640 (Plan Fleury). Paroisse Saint-Pierre-en-Ensentelée. Archives Départementales du Loiret.
45 Le Couvent des Minimes. Cne de Gien. Couvent des Minimes de Gien, 1497 (A.D. 188 G 2417) ; Les Minimes, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Fief mouvant du chapitre Saint-Étienne de Bourges.

Providence. n. f. Religieuse hospitalière.
28 Le Couvent-de-la-Providence-de-Chartres. Cne de Chartres. Institution des filles de la Providence pour l'éducation des jeunes filles pauvres, 1653-1654 (A.D. 28-H, La Providence, V A 1) ; Couvent de la Providence, 1653-1689 (A.D. 28-G 131) ; Donation par Francois Pedoue, chanoine de Notre Dame de Chartres, aux filles de la Providence de deux maisons, rue Muret, pour y établir leur communauté, 1656 (A.D. 28-H, La Providence, V A 2) ; Statuts et règlements des filles de la Providence, 1654 (A.D. 28-H, La Providence, V A 3) ; Testament de Gaston de Pedoue, seigneur d'Hattonville, léguant 6000 liv. pour l'entretien d'un chapelain dans la maison de la Providence, 1670 (A.D. 28-H, L Providence, V C 1). Inventaire des biens du Couvent de la Providence, 1692 (A.D. 28-H, La Providence, V B 18) Décrets d'extinction du couvent des Ursulines de Chartres, par lequel une partie de leurs biens est réunie à la maison de la Providence, à la charge de prendre deux orphelines, 1758-1759 (A.D. 28-H, La Providence, V G 1) ; Translation du corps de Francois Pedoue, dans la nouvelle maison de la Providence, rue de la Fromagerie, 1761 (A.D. 28-H, La Providence, V A 2) ; Les Filles de la Providence, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; Le Couvent de la Providence de Chartres, hospitalières, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 30). Couvent de religieuses, autorisées par Lettres Patentes de 1654 (A.D. 28-G 704), établies rue Muret. Lors du consentement donné par le Corps de Ville à l'établissement des nouvelles sœurs, le 18 mars 1655, il avait été expressément stipulé que les biens du couvent feraient retour à l'Hôtel-Dieu dans le cas où, pour une cause quelconque, la communauté viendrait à se dissoudre, et cette condition avait été confirmée par l'arrêt d'homologation du Parlement du 27 juillet 1656. Aussi lorsque les arrêtés du Directoire du Département des 11 mai 1791, 31 janvier et 4 juillet 1792 prononcèrent la fermeture des écoles tenues par les religieuses de la Providence et l'extinction de leur communauté, les administrateurs du Bureau des Pauvres de Chartres obtinrent de droit la réunion de leurs biens à ceux de l'Hôpital Général de Chartres. A.D. 28-H 5510-5524, La Providence, V A-H.
45 Le Couvent-de-la-Providence-de-Meung. Cne de Meung-sur-Loire. Testament de Pierre Dollon, chanoine de Saint Liphard de Meung, disposant de ses biens en faveur des dames de la Providence de Meung, dont il a fondé la maison, 1719 (A.D. 28-H, La Providence, V H 1).

Récollet. n. m. 1611. Latin ecclésiastique médiéval recollectus = recueilli, participe passé de recolligere = se retirer, dans un monastère, se recueillir, nom pris par des religieux d’une branche réformée de l’ordre de Saint-François, pour indiquer leur vocation à la récollection ou recueillement. Archives Nationales-4 AP 56 à 60.
28 Le Couvent des Récollets. Cne de Châteaudun. Crux Sancti Alemanni, 1044 (A.D. 28-G, Prieuré Saint-Martin de Chamars) ; Leprosaria Sancti Lazari de Castriduno, vers 1260 (A.D. 28-G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Dunois) ; L’Ostel Saint Ladre de Chasteaudun, 1437 (A.D. 28-G, chapitre de la Sainte-Chapelle de Dunois) ; Le Couvent des Récolets de Châteaudun, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 30) ; Délibération capitulaire des chanoines de la Sainte Chapelle, abandonnant aux Pères Cordeliers réformés dits Récollets la chapelle de Saint Lazare, avec les masures, cours et clos y attenant, à cause de la dévotion et affection que Mme la duchesse de Longueville, ensemble les habitants de la ville et faubourgs, ont à l'établissement desdits Pères Récollets en cette dite ville, juin 1606 (A.D. 28-E 3216) ; Marché avec René Guillois, maçon, pour la réfection des murailles du logis des PP. Récollets au lieu de Saint Lazare, novembre 1608 (A.D. 28-E 3223) ; Marché avec Pierre Naudin, menuisier, pour faire en l'église des Pères Récollets à Saint-Lazare, une cloison de menuiserie devant le grand-autel de ladite église, à laquelle cloison y sera fait deux portes aux deux bouts, sur l'une desquelles ledit Naudin y fera un Nom de Jésus, sculpté, percé à jour, et sur l'autre porte les armes de l'ordre Saint François, aussi sculpté et percé à jour, mai 1614 (A.D. 28-3242) ; Requête des Récollets de Châteaudun aux chanoines de la Sainte-Chapelle pour obtenir le reste de l'enclos de Saint Lazare où ils sont logés, à cause du grand nombre de religieux qui se consacrent en leur couvent, février 1615 (AD. 28-E 3252) ; Traité des PP. Récollets de Châteaudun avec Pierre Defromont, maçon, pour reconstruire en leur couvent un logis dont les fondements sont rompus, août 1619 (A.D. 28-E 3291) ; Marché avec Julien Rommier, charpentier, pour élever un corps de logis au couvent des PP. Récollets de Châteaudun, mai 1620 (A.D. 28-E 3297) ; Les Récollets, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Les Récollets, 1811 (Cadastre). En 1606, les Récollets s’installèrent dans les bâtiments de l’ancienne léproserie, et les chanoines de la Sainte-Chapelle de Châteaudun en conservèrent les biens. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.
36 Le Couvent des Récollets. Cne de Vatan. Les Récollets de Vatan, fondé en 1650], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Les Récollets de Vatan, fondés en [1650], 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Couvent des Cordeliers ; Les Récolets, 30 décembre 1771 (A.C. de Vatan, plan de Vastan) ; Communauté des Récolets, paroisse de Vatan, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 26b) ; Le ci devant couvent des Récolets, 2 ventôse an 2 (AD. 36-2 Q. Biens Nationaux). Bien National. Couvent de cordeliers fondé en 1450, dont les religieux récollets prirent possession en 1650. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.
36 Le Couvent des Récollets. Cne du Blanc. Les Récollets du Blanc en Berri, paroisse de Saint Étienne, en [1619], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 85) ; Les Récollets du Blanc en Berry, paroisse de Saint Étienne, fondés en [1619], 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Récolets, paroisse du Blanc, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 26b) ; Chapelle des Récollets, paroisse du Blanc, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 384b) ; Le ci devant Couvent des Récollets, 4 fructidor an 4 (AD. 36-2 Q. Biens Nationaux). Bien National. Couvent fondé en 1619. Paroisse Saint-Étienne. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.
37 Le Couvent des Récollets. Cne de Château-Renault. La communauté ci devant des Récollets de cette ville [de Château-Renault], sittuée paroisse Saint Sulpice du Boulay, 26 janvier 1791 (A.D. 37-1 Q , P.V. 2, n° 11. Biens Nationaux) ; Le Couvent des Récollets, an 2 (A.D. 37-L 583) ; Établissement d’une draperie aux ci devant Récollets de Châteaurenault par Peltereau, 21 vendémiaire an 6 (A.D. 37-L 262) ; Les Récollets, 1835 (Cadastre du Boulay). Bien National. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.
37 Le Couvent des Récollets. Cne de Chinon.  Les Récollets, 21 vendémiaire an 6 (A.D. 37-L 262).
37 Le Couvent des Récollets. Cne de Tours. Lettres patentes de Louis XIII autorisant la construction du couvent des Récollets, 22 janvier 1618 (A.D. 37-H 723) ; Révérend Père Zozime Muray, religieux récollet de la province de Sainte Marie Madeleine, de la famille [= couvent] de Tours, 12 aout 1722 (A.C. de Saint-Nicolas-de-Bourgueil-GG 6) ; Hospice Saint Clément, 1790 ; Dépôt de Mendicité, 1809 (A.N.-F16 1010, 1092) ; Caserne Marescot, 1826. Collège Notre Dame la Riche, 1968. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans. A.D. 37-H 723-724.
41 Le Couvent des Récollets. Cne de Blois. Hospice sans communauté. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.
45 Le Couvent des Récollets. Cne d’Orléans. Les Recolletz, 1640 (Plan Fleury). Paroisse Saint-Michel pour le bâti. Province Sainte-Marie-Madeleine d’Orléans.

Religieuse de la Congrégation. Religieuse qui suit la règle de saint Augustin.
18 Le Couvent des Religieuses-de-la-Congrégation. Cne de Bourges. La Maison Chambellan, 1625 ; Les Religieuses de la Congrégation de Notre Dame furent établies à Bourges en 1652 ; leur maison est située dans la paroisse de Saint Jean des Champs, 1663 (A.D. 18-J 1199, fol. 7) ; Filles de la Congrégation, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; Les Religieuses de la Congrégation de Bourges où elles furent fondées en l’année 1652, avant ce temps là elles étoient à Saint Amand en Bourbonnois, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Sœur Jeanne Marie de Lalande, en religion sœur Sainte Solange, religieuse au Couvent de la Congrégation de Bourges, 1729 (A.D. 18-B 1754) ; Les religieuses de la Congrégation de Bourges, où elles furent établies en 1652 ; avant de temps là elles étaient à Saint Amand en Bourbonnais, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90). Fondation du couvent à Saint-Amand-Montrond en 1629 et transfert à Bourges en 1652 (A.D. 18-48 H 1).  Ordre de Saint-Augustin. Paroisse Saint-Jean-des-Champs. A.D. 18-48-H 1-44.
36 Le Couvent des Religieuses-de-la-Congrégation. Cne de Châteauroux. Procédure à la requête du procureur du Roi au sujet de la tentative de vol à main armée faite au cours de la nuit du 28 au 29 dans le couvent des religieuses de Notre Dame de Châteauroux, 29 avril 1755 (A.D. 36-1 B 446) ; Les religieuses de la Congrégation de Châteauroux, situées hors la ville, sur le chemin du Bourgdieux, où elles ont une très belle maison et un grand enclos, et où elles furent établies en 16.., par [blanc], 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Procédure à la requête du procureur du Roi contre Antoine Joseph Watrellot et Amable Dollet, marchands de rubans à Lille, convaincus d’avoir livré aux religieuses de la congrégation Notre Dame de Châteauroux 845 aunes de galon au lieu de 6400 qui leur avaient été payées : Watrellot est condamné à 5 ans de galères et Dollet à 3 ans de la même peine, 25 mai 1785 (A.D. 36-1 B 473). Ordre de Saint-Augustin.

Religieuse de la Miséricorde de Sancerre.
18 Couvent des Religieuses-de-la-Miséricorde-de-Sancerre. Cne de Sancerre. Fondation du couvent en 1686. A.D. 18-49 H 1-4.

Religieuses du Saint-Sacrement.
28 Couvent des Religieuses du Saint-Sacrement. Cne de Dreux. L'an 1749, le mardy 10 juin, le corps de la Révérende Mère Élisabeth de Sainte Placide, prieure des dames religieuses du Couvent du Saint Sacrement de cette ville [Dreux], âgée de 87 ans, a été inhumé dans le cimetière dudit couvent (A.C. de Dreux-GG 36) ; L'an 1750, le vendredy 2 octobre, dame Françoise Petit, dite l'Assomption, fille de feu maître Guillaume Petit, notaire à Dreux, et de feue dame Françoise Cordier, prieure des dames religieuses bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement de cette ville [Dreux], âgée de 58 ans, a été inhumée dans le cimetière dudit couvent (A.C. de Dreux-GG 37) ; L'an 1759, le samedy 27 janvier, dame Marie Madeleine Collet, dite l'Enfant Jésus, âgée de 70 ans, fille de feu sieur Jacques Collet, officier chez le Roy, et de feue dame Anne Deruffin, religieuse et organiste des dames religieuses bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement de cette ville, a été inhumée dans le cimetière dudit couvent (A.C. de Dreux-GG 39) ; L'an 1760, le vendredy 18 janvier, la Révérende Mère Marie Anne Thérèse Dubois, dite Victime de Jésus, sous prieure du couvent de cette ville [Dreux], âgée de 79 ans, a été inhumée dans le cimetière dudit couvent (A.C.  de Dreux-GG 39) ; L'an 1769, le 15 janvier, dame Jeanne Françoise Thérèse Heuveline, dite de Jésus, sous prieure des dames religieuses bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Saint Sacrement de cette ville [Dreux], âgée de 76 ans, a été inhumée dans le cimetière dudit couvent (A.C. de Dreux-GG 41) ; L'an 1776, le mardy 27 aoust, avons inhumé dans le cimetière du couvent des dames religieuses bénédictines de l'Adoration perpétuelle du Très Saint Sacrement de cette ville Marie Catherine Gravois, dite sœur de l'Assomption, prieure dudit couvent, âgée de 80 ans (A.C. de Dreux-GG 42) ; L'an 1785, le lundi 3 octobre, avons inhumé dans le cimetière du couvent des dames religieuses du Saint-Sacrement de cette ville [Dreux] Madeleine Caillier, dite Marie Scolastique du Saint-Sacrement, sous-prieure de la maison, âgée de 90 ans (A.C. de Dreux-GG 44).

Sachet. n. m. fin XIIe s. Latin saccus = sac (Cicéron, In Verrem actio, 1, 95) ; vêtement de lin grossier, nature de l’étoffe, chez les auteurs ecclésiastiques latins. Français sac et suffixe diminutif et, forme de ce vêtement. Ordre mendiant de la Pénitence de Jésus Christ, fondé vers 1245, règle de saint Austin, dissous le 17 juillet 1274, 6e session du concile de Lyon, canon 23, Religionum diversitatem qui met fin à l'existence d'un certain nombre d'ordres religieux mendiants. Ses membres se répartirent alors dans les autres Ordres mendiants jusqu’en 1317. Après l’ordre de suppression de 1274, les sachets bénéficièrent d’une large tolérance de la part des autorités ecclésiastiques, soit pour fermer leur couvent, soit pour le céder, soit pour fusionner.
18 Le Couvent des Sachets. Cne de Bourges. Anciennement il y avait aussi en ce diocèse [de Bourges] des religieux dits Sachets ou de la Pénitence, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 88). Couvent connu avant 1274 et jusqu’en 1299. Province de France.
37 Le Couvent des Sachets. Cne de Tours. Couvent connu avant 1274 et jusqu’en 1289. Province de France.
45 Le Couvent des Sachets. Cne d’Orléans. Couvent connu entre 1265 et 1317. Province de France.

Sœurs des Nouvelles Catholiques.
41 Le Couvent Saint-Joseph des Nouvelles-Catholiques. Cne de Blois. A.D. 41-56 H 1-6.

Sœurs Grises. Religieuse hospitalière.
28 Le Couvent des Sœurs-Grises. Cne de Chartres. La maison de la ci devant Communauté des Soeurs Grises, de Saint Maurice de Chartres, située à Saint Maurice lès Chartres, d’un bout vers l’Est la rue du Fauxbourg, d’autre bout vers l’orient une ruelle vulgairement appellée la ruelle des Vignes, 10 octobre 1793 (A.D. 28-1 Q 6, P.V. n° 1451, 1452 ; plan annexé à la minute. Biens Nationaux). Bien National.
37 Le Couvent des Soeurs-Grises. Cne de Tours. Contrat d'établissement de 2 filles de la Charité, servantes des pauvres malades, dans la paroisse de Saint Clément de la ville de Tours, par les héritiers de la veuve de messire Claude Ledoulx, chevalier, baron de Melleville, au moyen d'une rente de 600 l. sur des aides et gabelles, 1725 (A.D. 37-H 827).

Union Chrétienne.
28 Le Couvent de l’Union-Chrétienne. Cne de Chartres. L’Union Chrétienne ou Filles de Saint Chaumont de Paris, paroisse Saint Hilaire, sans Lettres Patentes, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 5, 32) ; La maison ci devant conventuelle de l’Union Chrétienne, sittuée à Chartres, rue Croix de Beaulieu, consistant en plusieurs corps de bâtimens, église, cour et 2 jardins, 10 octobre 1793 (A.D. 28-1 Q 6, P.V. n° 1453. Biens Nationaux). Bien National. Paroisse Saint-Hilaire. Couvent installé fin XVIIe s., sous l’épiscopat de Paul Godet des Marais (1690-1709).
37 Le Couvent de l’Union-Chrétienne. Cne de Chinon. La cy devant communauté de l’Union Chrétienne de Chinon, 22 octobre 1792 (A.D. 37-1 Q 101, P.V. 803. Biens Nationaux). Bien National. A.D. 37-H 828, 1131.
37 Le Couvent de l’Union-Chrétienne. Cne de Tours. Demoiselle Marie Marchand de La Mulinière a obtenu du Roi les Lettres Patentes, l’autorisant à établir à Tours une maison en communauté de veuves, filles ou femmes, pour y recevoir celles de la Religion Prétendue Réformée, revenues à la religion catholique, afin d’y faire leur demeure, 1677 (A.D. 37-H 829) ; Couvent de l'Union Chrétienne, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 173) ; Marie Marguerite Angélique d’Aubigny, veuve de Messire Antoine d’Amboise, seigneur du Clos, etc., demeurant à Tours, au couvent de l’Union Chrétienne, paroisse Saint Vincent, 27 mai 1785 (A.C. d’Amboise-GG 21C, Saint-Florentin). Paroisse Saint-Vincent. Temple de l’Église Réformée de France. A.D. 37-H 829-830.

Ursuline. n. f. 1639. Nom dérivé de sainte Ursule, par le suffixe diminutif ine. Religieuse suivant la règle de saint Augustin, établie en France à partir de 1611.
18 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Bourges. Les Urselines, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; Les Ursulines de Bourges fondées en 1621 ou en 1631, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les Ursulines sont établies à Bourges en 1631 ; leur maison
18 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Bourges. Les Urselines, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; Les Ursulines sont établies à Bourges en 1631 ; leur maison est dans la paroisse de Saint Pierre le Guillard, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 10) ; Les Ursulines de Bourges, fondées en 1621 ou en 1631, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Ursulines, paroisse de Bourges, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 40b) ) ; Ci devant Couvent des Ursulines,Compagnie Départementale Gendarmerie, 1814 (Cadastre) ; Séminaire, 1878 (Plan de Bourges) ; Grand Séminaire, 1905 (Plan de Bourges) ; Palais de Justice, 1967 (Cadastre). Paroisse Saint-Pierre-le-Guillard. A.D. 18-45 H 1-86.
18 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Sancerre. Les Ursulines de Sancerre, fondées en 16[blanc] 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les Ursulines de Sancerre, fondées en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90).
18 Le Couvent-Sainte-Ursule-des-Ursulines. Cne de Lignières. Le Convent et monastère Saincte Ursule de Lignières, 1630 (A.D. 18-46 H, ursulines de Lignières) ; Les Ursulines de Linières, fondées en 16[blanc], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les religieuses ursulines de Linières, 1740 (A.D. 18-46 H, ursulines de Lignières) ; Les Ursulines de Lignières, fondées en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Urselines, paroisse de Linières, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 41b). A.D. 18-46 H 1-16.
28 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Chartres. Couvent des Ursulines, 1626 (A.D. 28-G 131) ; Sentences permettant aux religieuses Ursulines de teindre de blanc en noir, mais pour l'usage seulement de leur communauté, 1691 (A.D. 28-H, La Providence, V G 2) ; Les Ursulines, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; Les Ursulines, paroisse Saint Michel, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 5, 32). Couvent fondé vers 1625. Les biens des Ursulines de Chartres, supprimées en 1759, furent répartis entre le Prieuré Saint-Jean des Filles-Dieu, le couvent des Carmélites et de la Visitation, et les religieuses de la Providence de Chartres (A.D. 28-H, La Providence, V G 1). Paroisse Saint-Michel.
28 Le Couvent-des-Ursulines. Cne Nogent-le-Rotrou. Inventaire des titres, papiers et enseignements de la maison et couvent de Mesdames les religieuses Urselines de Nogent le Rotrou au Perche, diocèse de Chartres, ordre de Saint Augustin, 1460-1762 (A.D. 28-H 5351) ; Inventaire des titres et papiers du couvent des Ursulines de Nogent le Rotrou, 1468-1761 (A.D. 28-H 5352) ; Fondation du Couvent des Ursuline, rue Dorée, à Nogent le Rotrou, 1591-1687 (A.D. 28-H 5354) ; Le couvent des Ursulines de Nogent le Rotrou, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 32) ; Suppression du couvent des Ursulines, 1789-1792 (A.D. 28-H 5391). Paroisse Notre-Dame. Couvent fondé vers 1633. Le couvent se situait 84, rue Gouverneur. A.D. 28-H 5351-5391.
36 Le Couvent-des-Ursulines. Cne d’Issoudun. Procédure contre les auteurs du vol de blé et de linge commis au couvent des Ursulines d’Issoudun, 21 septembre 1706 (A.D. 36-2 B 338) ; Les Ursulines d’Issoudun, fondées en 16[blanc], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Apposition de scellés au couvent des Ursulines d’Issoudun en la chambre d’Anne de Maganc, veuve de Jean Baptiste du Fadat, seigneur de Saint Georges, 29 août 1763 (A.D. 36-2 B 107) ; Les Ursulines d’Issoudun, fondées en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Urselines, paroisse d’Issoudun, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 40b). Couvent fondé en 1627.
36 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Châteauroux. Procès verbal fait au Couvent des Ursulines de Châteauroux en exécution de l’arrêt du Parlement du 4 avril 1667 prescrivant de dresser procès verbal du nombre des religieux et religieuses et des biens des monastères, 20 septembre 1667 (A.D. 36-2 B 16) ; Descente faite au couvent des Ursulines de Châteauroux pour l’exécution de l’édit du Roi de décembre 1666 sur les formalités à accomplir pour l’établissement de maisons religieuses, 12 janvier 1668 (A.D. 36-2 B 16).
36 Le Couvent-des-Ursulines. Cne de Valençay. Acte de fondation du couvent des Ursulines de Valançay, passé au château de Valençay, par devant Simon Lainé et Étienne Robert, notaires à Valençay, entre haut et puissant seigneur Dominique d'Étampes, marquis de Fienne, baron de Bellebrune et de Marle, seigneur de Valençay, sire d'Aplaincourt, Guillaucourt, Talmas, Varanne, Lye, Villantrois et autres lieux, chevalier, conseiller du Roi en ses conseils, capitaine de cent hommes d'armes de ses ordonnances, et haute et puissante dame Marguerite Louise Thérèse de Montmorant, femme dudit seigneur, d'une part ; et maître René Piraud, procureur au comté et bailliage de Selles, au nom et comme procureur des religieuses Ursulines dudit Selles, d'autre part. Le seigneur de Valençay et sa femme donnent, par ledit acte, aux religieuses de Selles, pour y construire un couvent de leur ordre : 1° un emplacement situé au bourg de Valançay, ledit immeuble exempt de toutes rentes et redevances seigneuriales quelconques, tant qu'il sera possédé par les religieuses, ainsi que les autres immeubles que les Ursulines pourront acquérir pour former leur enclos ; 2° la somme de 4,000 livres tournois, comptées entre les mains dudit maître Piraud, procureur des religieuses ; 3° cent arbres qui seront marqués à prendre dans la forêt de Valençay, pour construire la charpente de l'église et des bâtiments du monastère à fonder. En considération de ces dons, le seigneur de Valançay et sa femme et leurs successeurs seront reconnus, à perpétuité, vrais fondateurs dudit couvent ; à cette fin, leurs armes seront placées " aux lieux éminents " du monastère. En outre, ladite dame de Valençay, en considération du bon plaisir de laquelle ledit établissement est fondé, pourra entrer dans le couvent chaque fois que bon lui semblera, avec ses filles non mariées et deux autres qu'il lui plaira de choisir ; ce droit sera continué à toutes les dames de Valençay qui lui succéderont, à condition toutefois qu'elles soient toujours dans la religion catholique, apostolique et romaine. Le couvent de Selles devra envoyer à Valençay six de ses religieuses, six semaines après les permissions des supérieurs ecclésiastiques, pour célébrer le service divin dans le nouveau couvent, 9 août 1642 (A.D. 36-H 942) ; Les Ursulines de Valençay, auxquelles ont été réunies celles de la ville de Celles ou Selles en Berri, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les Ursulines de Valançay, auxquelles ont été réunies celles de la ville de Celles ou Selles en Berri, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Urselines, paroisse de Valençay, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 42b). A.D. 36-H 942-949.
36 Le Couvent-Saint-Joseph-des-Ursulines. Cne de Châtillon-sur-Indre. Déclaration des domaines et héritages que les dames religieuses Ursulines de Châtillon sur Indre reconnaissent tenir en fief de l’abbaye de Baugerais : 1° le bâtiment qui compose le couvent et l’église des dites dames situé au faubourg Saint Antoine, 1697 (A.D. 36-H 979) ; Les Ursulines de Châtillon sur Indre (Saint Joseph), fondées en 16[blanc], 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; Les Ursulines de Châtillon, état de leurs revenus, 11 novembre 1755-11 février 1756 (A.D. 36-3 B 52) ; Les Ursulines de Châtillon sur Indre (Saint Joseph), fondées en 16.., 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Urselines, paroisse de Chatillon sur Indre, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 40b). A.D. 37-H 835.
37 Le Couvent-des-Ursulines. Cne d’Amboise. Le Cimetière des Ursulines, 15 février 1658 (A.D. 37-2 F5/2, fol. 367) ; Acte fait entre les dames Ursulines d’Amboise et Jacques Habert l’aîné, pour prendre sa fille, pour la somme de 3.000 l., 5 novembre 1712 (acte Habert-Amboise) ; Fondation de 4 messes et un salut qui se doivent dire dans l’église des Ursulines par leur directeur, moyennant la somme de 5.000 l., 29 septembre 1714 (acte Branchet-Amboise) ; Au couvent des Ursulines dud. Amboise, 27 novembre 1752 (acte Fortin-Langeais) ; Couvent des Ursulines d'Amboise, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 176) ; Un grand corps de bâtiment servant de logement aux pentionnaires des Ursulines d’Amboise, 6 mars 1793 (A.D. 37-1 Q 15, P.V. 48, n° 13. Biens Nationaux) ; Le couvent des Ursulines d’Amboise, 6 messidor an 4 (A.D. 37-1 Q 438, P.V. 164. Biens Nationaux); Clos des Ursulines, 1942 (Cadastre de Saint-Denis-Hors). Bien National. Commune de Saint-Denis-Hors. Le cadastre de 1978 note : Hôpital. Le clos du couvent est occupé par l’Hôpital d’Amboise, 30 et 32, rue Rabelais, ou Centre Hospitalier Général Robert-Debré. A.D. 37-H 831-834. A.D. 41-57 H 1-11.
37 Le Couvent des Ursulines. Cne de Chinon. Vœu exprimé par les habitants de la ville de Chinon pour l’établissement des Ursulines de Chinon, 1627 (A.D. 37-H 837) ; Le monastère de Sainte Ursule à Chinon, établi le 25 avril 1632, 1632 (A.D. 37-H 838) ; Couvent des Ursulines de Chinon, archiprêtré de Lille Bouchard, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 442) ; Inventaire de tout ce qui se trouve dans les bâtiments des religieuses de Sainte Ursule, 1790 (A.D. 37-H 837) ; La ci devant communauté des Ursulines de Chinon, telle qu’en jouissoit les ci devant religieuses, 15 mars 1793 (A.D. 37-1 Q 102, P.V. 891. Biens Nationaux) ; Les Ursulines de Chinon, 27 prairial an 4 (A.D. 37-L 86). Bien National. A.D. 37-H 836-839.
37 Le Couvent des Ursulines. Cne de L’Ile-Bouchard. Arrêt ordonnant que, par l’archevêque de Tours, il sera procédé à la suppression du couvent de la communauté des religieuses Ursulines de l’Île Bouchard et à l’union de ses biens et revenus à des établissemens du même diocèse, samedi 19 avril 1777 (A.N.-E 2529, fol. 424-425) ; Inventaire du Couvent des Ursulines de la ville de l’Île Bouchard, 1779 (A.D. 37-H 840) ; Ordonnance de Monseigneur Joachim Mamert François de Conzié, archevêque de Tours, portant suppression du couvent des Ursulines de l’Île bouchard, établi en 1644, et son union à celui de Loches, 2 mai 1781 (A.D. 37-H 840) ; Fondation à l’Île Bouchard, et par l’initiative de Monseigneur Joachim Mamert François de Conzié, archevêque de Tours, d’une école gratuite et maison de charité, qui sera installée dans les locaux occupés ci devant par les religieuses ursulines, 1782 (A.D. 37-H 811) ; La maison de charité et d’enseignement des Ursulines, 26 octobre 1791 (A.D. 37-L 121). Couvent réuni à celui des Ursulines de Loches le 2 mai 1781. A.D. 37-H 811, 840, 848.
37 Le Couvent des Ursulines. Cne de Loches. Les religieuses et couvent des Ursulines, 1588 (A.D. 37-H 842) ; Arrêt ordonnant que, par l’archevêque de Tours, il sera procédé à la suppression de la communauté des Ursulines de Loches et à l’union de ses biens et revenus à des établissemens du même diocèse, samedi 19 avril 1777 (A.N.-E 2529, fol. 420-421) ; Couvent des Ursulines de Loches, archiprêtré de Loches, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 317) ; Un corps de bastiment dépandant des ci devant Ursulines de Loches, joignant d’un bout par le devant à la rue de la Voie Neuve, d’autre bout par le jardin au ruisseau de Mazerolle, 3 messidor an 4 (A.D. 37-1 Q 437, P.V. 113. Biens Nationaux). Bien National. Église Saint-Antoine. A.D. 37-H 841-849.
37 Le Couvent des Ursulines. Cne de Tours. Lettres Patentes du Roi portant permission au monastère des Ursulines de Tours de posséder des biens en main morte, 1620 (A.D. 37-H 852) ; Procès verbal fait par Abel Ladore, archidiacre d’Outre Vienne, de l’établissement en lad. ville de Tours, de la congrégation de Sainte Ursule, et de la 1re messe dite par led. Abel Ladore, dans leur chapelle provisoire, installée dans la maison de messire Amanion Lehoux, chanoine prébendé en l’église de Tours, 12 août 1622 (A.D. 37-H 852) ; La Petite Bourdaisière, 3 mai 1625 (A.D. 37-H 852) ; Couvent des Ursulines à Tours, 7 octobre 1773 (Bidault-Tours) ; Couvent des Ursulines de Tours, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 179) ; Magasin des Subsistances, 1er floréal an 2 (Délibération du conseil général de la Commune) ; La maison du cy devant couvent des Ursulines, située commune de Tours, rue du Poitou, 15 frimaire et 24 pluviôse an 6 (A.D. 37-1 Q 462, P.V. 65). A.D. 37-H 851-857.
41 Le Couvent des Ursulines. Cne de Blois. A.D. 41-59 H 1-10.
41 Le Couvent des Ursulines. Cne de Montrichard. Les religieuses du couvent de Sainte Ursule de Montrichard, 1656 (A.D. 37-H 850) ; Les dames Ursulines de Montrichard, 13 août 1714 (acte Branchet-Amboise) ; Réunion de la communauté des Ursulines de Montrichard à celle d’Amboise, 1749-1755 (A.D. 37-3 B 224) ; Le couvent des dames Ursulines de Montrichard, 14 février 1756 (acte Bellin-Amboise). Le couvent fut supprimé en 1755 et les religieuses rattachées à celui d’Amboise. A.D. 37-H 850. A.D. 41-57 H 1-11.
41 Le Couvent des Ursulines. Cne de Selles-sur-Cher. Les Ursulines de Valançay, auxquelles ont été réunies celles de la ville de Celles ou Selles en Berri, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Urselines, paroisse de Selles en Berry, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 41b). A.D. 41-60 H 1-9.
41 Le Couvent des Ursulines. Cne de Vendôme. Le ci devant couvent des Ursulines, 1792 (A.D. 41-1 Q, P.V. n° 1050. Biens Nationaux). Bien National. Les ursulines s’établirent en 1635 dans le Faubourg Chartrain ; de 1662 à 1672, elles firent bâtir une chapelle qui servit de salle de cinéma jusqu’en 1980. A.D. 41-61 H 1-19.
45 Le Couvent des Ursulines. Cne d’Orléans. Les Urselines, 1640 (Plan Fleury) ; Histoire de la fondation des religieuses Ursulines de Saint-Charles à Orléans, 1656 (A.D. 45-H supp. 104 H 260). Paroisse Saint-Paterne.
45 Le Couvent des Ursulines. Cne de Beaugency. Les Urselines, 1828 (Cadastre). A.D. 41-58 H 1.
45 Le Couvent des Ursulines. Cne de Montargis. Département du Loiret. Hospice de Montargis. Art. 114. Les terrains et dépendances du ci devant Couvent des Ursulines de la commune de Montargis, département du Loiret, désignés au plan qui en a été dressé le 28 prairial an 4 par le citoyen Verbeugh, ingénieur des Travaux Publics, et estimés par Procès verbal d’experts du 12 vendémiaire an 8 à la somme de 12.060 fr en capital, sont abandonnés à l’Hospice civil de Montargis en remplacement des terrains, bâtimens et dépendances de l’ancien Hôtel-Dieu de ladite somme, estimés à la somme de 10260 fr. Les bâtimens de l’ancien Hôtel-Dieu sont et demeurent réunis au domaine national, et seront régis et administrés jusqu’à la vente, comme les autres domaines nationaux. La Soulte de 1.800 fr pour la plus value des biens cédés à l’Hospice de Montargis sera retenue par lesdits hospices en remplacement jusqu’à due concurrence de ses bien aliénés ; si aucuns l’ont été au profit du Trésor Public ; au cas contraire, la dite soulte sera versée aux caisses publiques dans le délai d’un an sans intérêt pendant de délai (26 ventôse an 12, Délibération du Conseil d’État, Titre VI).

 

Véronique. n. f. 1195. Latin biblique Veronica, surnom de la femme qui essuya la face de Jésus Christ.
41 Couvent des Véroniques. Cne de Blois. A.D. 41-44 H 1-27.

Viantaise. n. f. fin XVIIe s. Couvent fondé par Charles de Boursault, chevalier, seigneur de Viantais. Religieuse chanoinesse qui suit la règle de saint Augustin, vouée à l’éducation des jeunes filles, appelée officiellement Fille de la Mère de Dieu.
37 Le Couvent des Viantaises. Cne de Beaulieu-lès-Loches. Établissement des religieuses chanoinesses, 1641 (A.D. 37-H 858) ; Procès Verbal de l’installation solennelle et bénédiction du prieuré des religieuses chanoinesses régulières de l’ordre de Saint Augustin, dans une maison de Beaulieu, mise à leur disposition, et située dans la paroisse de Saint Laurent, 1643 (A.D. 37-H 858) ; Révérendes Mères les filles de la Mère de Dieu, chanoinesses régullières de l’ordre de Saint Augstin de la ville de Beaulieu, 15 février 1718 (acte Gosmer-Loches) ; Couvent des Viantaises de Loches, archiprêtré de Loches, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 314) ; Plan du couvent des Viantaise de Beaulieu, XVIIIe s. (A.D. 37-H 870) ; Le bâtiment neuf où étoient les pensionnaires [...], l’église du couvent des Viantaises, rue Brûlée, 24 frimaire an 2 (A.D. 37-1 Q 210, P.V. 2168. Biens Nationaux) ; La maison des ci devant religieuses dittes Viantaises, située commune de Beaulieu près Loche, 6 floréal an 6 (A.D. 37-1 Q 469, P.V. 283 à 287. Biens Nationaux) ; Les Viantaises, 1827 (Cadastre) ; Les Viantaises, 1959 (Cadastre). Bien National. Le cadastre de 1827 note : serre. Entrée par la rue Brûlée. A.D. 37-H 858-870.

Visitation. n. f. Vers 1200. Latin classique visitatio = apparition, manifestation, puis latin impérial, action de faire une visite, latin ecclésiastique, action d’éprouver, d’affliger quelqu’un ; ce nom dérive du supin de visitare. D’abord, aller voir quelqu’un ; fin XIIIe s., visite canonique d’un monastère, et, en religion, ce qui est envoyé par la visite de Dieu, épreuve ou grâce ; en 1611, visite de la Vierge Marie à sa cousine Élisabeth, enceinte de saint Jean Baptiste. Ordre de religieuses fondé par saint François de Sales et sainte Jeanne de Chantal en 1611, dont le pape Urbain VIII approuva les constitutions en 1626. Depuis 1721, la religieuse de cet ordre se nomme visitandine, mot tiré de visit[ation], faisant allusion au 1er but de l’ordre : visiter les pauvres pour leur porter des secours matériels et spirituels, que les règles canoniques en vigueur transformèrent en ordre de cloîtrées, consacrées à la prière et à l’éducation des jeunes filles.
18 Le Couvent Sainte-Marie-de-la-Visitation. Cne de Bourges. Les Filles de la Visitation ou de Sainte Marie, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; Les religieuses de la Visitation de Sainte Marie furent établies à Bourges en 1618 ; leur maison est située dans la paroisse de Saint Pierre le Guillard, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 10) ; La Visitation de Sainte Marie de Bourges, où elles furent établies en 1618, du vivant de saint François de Sales, par la bienheureuse Jeanne Françoise Frémiot, baronne de Chantal, 1re supérieure de cet ordre, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Visitandines, paroisse de Bourges, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 39b).  Paroisse Saint-Pierre-le-Guillard. A.D. 18-47 H 1-76.
28 Le Couvent de la Visitation. Cne de Chartres. Fondation de la communauté de la Visitation, 1644-1667 (A.D. 28-H 5461) ; Les Filles de la Visitation, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; La Visitation, paroisse de Sainte Foy, 1738 (Pouillé de Chartres, p. 5, 29) ; La Visitation de Chartres, 11 mars 1791, (A.D. 28-1 Q 77, P.V. n° 2. Biens Nationaux) ; Une partie de la maison ci devant conventuelle de la Visitation, 8 octobre 1793 (A.D. 28-1 Q 6, P.V. n° 1442, 1443, 1444, 1445 ; plan annexé à la minute, signé Quévanne. Biens Nationaux). Bien National. Couvent établi en 1647. Paroisse Sainte-Foy. A.D. 28-H 5461-5497.
36 Le Couvent Sainte-Marie-de-la-Visitation. Cne d’Issoudun. Assemblée générale tenue par les habitants de la ville d'Issoudun, en leur chambre commune, le dimanche, à neuf heures du matin, le 15 novembre 1643, suivant les publications faites au son de la trompette aux lieux et en la manière accoutumés ; laquelle assemblée était présidée par le lieutenant général assisté du lieutenant particulier, des échevins, des conseillers de ville et autres habitants ; ledit extrait portant permission aux Visitandines de sestablir en la ville d'Issoudun dans l'endroit qu'elles jugeront le plus commode, à condition qu'elles ne pourront acquérir de domaines à deux lieues à la ronde de la ville et qu'elles recevront, moyennant une dot de 2,000 livres, les jeunes filles d'Issoudun qui voudront entrer dans leur communauté. — Assemblée générale du dimanche 6 décembre 1643, portant abandon à la limitation de la dot qui avait été fixée à 2,000 livres. — Permission, donnée par Mgr Pierre d'Hardivilliers, archevêque de Bourges, à la supérieure et aux religieuses de la Visitation de Bourges, de fonder un établissement à Issoudun, pour la plus grande gloire de Dieu et le salut de " plusieurs " âmes et l'édification du prochain par l'observance des règles, constitutions et coutumes de ladite congrégation ; ladite autorisation accordée à la demande de personnes de " qualité et condition " habitant Issoudun, lesquelles désirent un monastère de la Visitation Sainte-Marie, et parce que d'ailleurs, les religieuses étant au complet dans le monastère de la Visitation de la ville de Bourges, on n'y peut admettre les filles qui auraient " inspiration " d'entrer en cette communauté (A.D. 36-H 951) ; Descente faite au couvent de la Visitation d’Issoudun pour l’exécution de l’édit du Roi de décembre 1666 sur les formalités à accomplir pour l’établissement de maisons religieuses, 12 janvier 1668 (A.D. 36-2 B 16) ; Procès verbal de la visite faite par le lieutenant-général au couvent des religieuses de la Visitation d’Issoudun, 30 avril 1670 (A.D. 36-2 B 18) ; La Visitation de Sainte Marie d’Issoudun, en 1643, dans un endroit où il y avoit anciennement une maladrerie, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 86) ; La Visitation de Sainte Marie d’Issoudun, en 1643, dans un endroit où il y avait anciennement une maladrerie, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 90) ; Communauté des Visitandines, paroisse d’Issoudun, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 39b) ; Procès verbal de visite du caveau des religieuses de la Visitation d’Issoudun sous le chœur de leur église, 26 août 1776 (A.D. 36-2 B 120) ; Les Dames de la Visitation, XVIIIe s. (Carte de Cassini). Couvent fondé en 1643 dans la Maladrerie Saint-Lazare.
36 Le Couvent de la Visitation-Sainte-Marie. Cne de La Châtre. Descente faite au couvent de la Visitation de La Châtre pour l’exécution de l’édit du Roi de décembre 1666 sur les formalités à accomplir pour l’établissement de maisons religieuses, 12 janvier 1668 (A.D. 36-2 B 16) ; Procès entre les Visitandines de La Châtre et François Dorguin au sujet du paiement d’un legs fait aux religieuses par le testament de feu Silvain Aupetit dont François Dorguin est héritier, 6 mars 1677 (A.D. 36-1 B 505) ; Communauté des Visitandines, paroisse de La Châtre, 1772 (Pouillé de Bourges, t. 2, fol. 39b) ; État et déclaration des biens qui appartiennent à la communauté des Filles de la Visitation Sainte-Marie, de la ville de La Châtre en Berry : le couvent avec église, jardin et enclos, sis au faubourg Saint-Jacques de La Châtre ; plusieurs domaines et rentes. A la fin dudit acte, on lit le certificat suivant : " Nous certifions que nous ne possedons ni bois ni archives ni biblioteque mais seulement les littes de proprietté de biens et rentes ci devant expliqué et qu'il na rien eté soustrait ny divertit de notre maison. Nous devons a Mrs du chapitre quatre livres cinq sols de rente et nous sommes chargées de cinquante deux messes. Fait en notre monastere de la ville de La Châtre le vingt trois fevrier 1790, et avons signé la presente déclaration qui sera envoyée a Messieurs les officiers municipaux demain vingt quatre de ce mois. Sr Marie Anne Rochon De Lisle, supérieure ; Sr Marie Therese Dorsanne, assistente ; Sr Jeanne Christine Baucheron ; Sr Marie Susanne Rochou de Chabane, œconôme ; Sr Françoise Victoire Gaultier, toutes conseilliers (A.D. 28-H 950). Couvent fondé en 1640. A.D. 36-H 950.
37 Le Couvent de la Visitation. Cne de Loches. L’ancien couvent de la Visitation, 6 brumaire an 2 (A.D. 37-L 140). Église Saint-Antoine.
37 Le Couvent de Notre-Dame de la Visitation de Sainte-Marie. Cne de Tours. 2 corps de logis situés rue Haittée alias rue Chaude, 1634 (A.D. 37-H 871) ; Déclarations faites par les religieuses et couvent de Notre Dame de la Visitation de Sainte Marie de Tours, des choses qu’elles possèdent ou ont possédé en fief et seigneurie de l’abbaye de Saint Julien, et qui consistent en plusieurs maisons et pièces de jardin, paroisse Saint Étienne, détrites pour y construire leur église et couvent acutellement terminés, 1688 (A.D. 37-H 871) ; Couvent de la Visitation de Tours, archiprêtré de Tours, 1781 (A.D. 37-G 11, fol. 179). Couvent fondé en 1634. Hôtel de la Préfecture. Fief du Corps de Saint-Julien. A.D. 37-H 871-872.
41 Le Couvent de la Visitation de Sainte-Marie. Cne de Blois. A.D. 41-62 H 1-16.
45 Le Couvent de la Visitation. Cne d’Orléans. La Visitation, 1640 (Plan Fleury). Paroisse Saint-Paterne.
45 Le Couvent de la Visitation. Cne de Montargis. Bien National. Installation : 1628.