Cathédrale-Catuère


Cathédrale. n. f. 28 juin 1666, Journal des Savants. Latin chrétien cathedralis = de la chaire de Rome, dérivé de cathedra = siège, et plus spécialement trône royal, siège d’évêque, avec des extensions métonymiques : dignité épiscopale, église épiscopale. A l’époque mérovingienne, la cathédrale n’existait pas puisque la cathedra de l’évêque se déplaçait dans chaque basilique de la ville épiscopale jusqu’au VIIe s. Église où se trouve le siège de l’évêque. Comme la cathédrale de l’évêché de Rome est la basilique Saint-Jean de Latran, le nom primitif de ce siège est peut-être basilique. Dès le IXe s., ce mot réunit 3 réalités historiques : l’église de l’évêque et le chapitre cathédrale, jusqu’en janvier 1791, auxquels s’ajoute alors l’église paroissiale, suivant les décrets de l’Assemblée Nationale.

18 La Cathédrale Saint-Étienne. Cne de Bourges. Capitulo Beati Stephani, 1218 (A.D. 18-8 G 335, Testament de Hervé II de Vierzon) ; Venerabile Capitulum Bituricense, 1327 (Pouillé de Bourges, p. 26) ; Capitulum [Bituricensis], 1351 (Pouillé de Bourges, p. 57) ; Vicarii Bituricenses, 1351 (Pouillé de Bourges, p. 57) ; L’Yglise Cathédrale Sainct Estienne de Bourges, mai 1370 (A.N.-JJ 100, n° 724, fol. 213 v°) ; L’Iglise Cathédrale de Bourges, 1er juillet 1400 (A.N.-JJ 155, n° 80, fol. 46) ; L’Esglise cathédrale de Bourges, février 1413 (A.N.-JJ 167, n° 22, fol. 32) ; L’esglise métropolitaine Sainct Estienne de Bourges, décembre 1467 (A.N.-JJ 200, n° 157, fol. 85) ; Le Chapitre de l’Église Sainct Estienne de Bourges, 1567 (Nicolay, Description générale de Berry, p. 210) ; Capitulum ecclesie Bituricensis, 1621 (Pouillé de Bourges, p. 108, 109, 111, 118, 121, 124, 133, 137, 138, 139) ; Ad collationem Custodum [Coutres] ecclesie Bituricensis, 1621 (Pouillé de Bourges, p. 109) ; La 1re église et comme la mère des autres, est l’Église de Saint Étienne cathédrale, métropolitaine, primatiale et patriarchale, qui dépend immédiatement du Saint Siège de Rome, 1689 (La Thaumassière, Histoire de Berry, Livre II, ch. 6) ; Saint Etienne, 1705 (B.M. de Bourges, plan Nicolas de Fer) ; L’église patriarcale, primtiale, métropolitaine et cathédrale Sant Étienne, 1er diacre et 1er martyr, collateur : le Roi, Monseigneur l’archevêque et le chapitre ; le roi nomme 14 chanoines, Monseigneur 3 dignitaires, le chapitre nomme le doyen et les autres canonicats et autres bénéfices, 1720 (A.D. 18-J 1199, fol. 47) ; Saint Étienne, église patriarchale, primatiale et métropolitaine cathédrale, Sanctus Stephanus Ecclesia Major Urbis, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 4) ; Saint Étienne, église patriarchale, primatiale et métropolitaine cathédrale, dont le chapitre est composé de 4 dignités, qui sont  : le doyen, le chantre, le grand archidiacre et le chancelier, de 28 chanoines capitulans, de 4 chanoines de résidence, d’un sous chantre, de 8 chanoines semiprébendés, de 8 vicaires de résidence, de plus de 60 autres vicaires, que l’on nomme fuyards, parce qu’ils ne sont pas obligés à résidence, d’un maître de musique, de 12 enfans de chœur, de 2 sacristains ou contres ou custodes, un organiste, plusieurs musiciens gagistes, et autres personnes nécessaires pour le service de cette ancienne et illustre église. Dans le nombre des vicairies ou chapellenies de cette église métropolitaine, on en compte 9 sous le titre de Notre Dame la Blanche, 4 sous le titre de Notre Dame du Blanc Manteau, 3 sous celui de Notre Dame la Gissante, 3 sous celui de Notre Dame de Reims, 3 sous le titre de la Sainte Trinité, 11 sous celui de Saint Nicolas, 3 sous celui de Saint Étienne, 4 sous celui de Tous les Saints, 3 sous celui de Saint Sébastien, 2 de Saint Jean, 2 de Saint Martin, 2 de Sainte Catherine, une de Saint Austrégisile, une de Saint André, une dite de Beauvais, une de Sainte Croix, une de Saint Georges, une de Saint Marcou, une de Saint Martial, une de Sainte Marguerite, une de Saint Papoul, une dite du Pot, une de Sainte Sévère, et autres, dont Monseigneur l’archevêque a la nomination de 2 ; Sanctus Stephanus, Ecclesia major Urbis, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 40) ; L’Église patriarchale, primatiale, métropolitaine et cathédrale, chapitre Saint Étienne, 1er diacre et 1er martyr, patron : le Roi, Monseigneur l’archevêque et le chapitre ; le Roi nomme 14 chanoines, Monseigneur 3 dignitaires, le chapitre nomme le doyen et les autres canonicats et autres bénéfices, 5 septembre 1766 (A.D. 18-2 F 147, fol. 48) ; Métropole de Saint Étienne, paroisse Saint Pierre le Puellier, patrons : Monseigneur confère 3 dignités, le chantre, le grand archidiacre et le chancelier, le sous chantre et l’archiprêtre ; le Roi nomme à 14 prébendes, le chapitre aux 14 autres prébendes ; le chapitre est collateur de tous les autres bénéfices de l’Église, 1772 (Pouillé de Bourges, Ms 295, fol.1b-2a) ; L’Église Saint Étienne s’appelera Temple de l’Unité, 25 brumaire an 2 (Décision de la Société Populaire de Bourges) ; Saint Étienne, cathédrale métropolitaine, 1814 (Cadastre M) ; Cathédrale Saint Étienne, 1967 (Cadastre).
Le cadastre de 1814 note : le pélican à l’angle Nord-Ouest ; Ancienne Prison de l’Officialité = pilier Sud-Ouest ; Ancienne Officialité, bâtiment perpendiculaire près de la porte latérale Sud. Privilège accordé aux doyen et chapitre de l’Église de Bourges, qui les place sous la garde et protection du bailly de Berry, août 1452 (A.N.-JJ 181, n° 117, fol. 65). Confirmation des privilèges royaux accordés aux doyen et chapitre de l’Église métropolitaine de Bourges et notamment du droit de ressortir directement au parlement de Paris, avril 1466 (A.N.-JJ 194, n° 184, fol. 99). Cartulaire : B.N.-Ms Nouv. Acq. lat. 1274 ; A.D. 18-8 G 17-18.

28 La Cathédrale Notre-Dame. Cne de Chartres. In Ecclesia Carnotensis, vers 1272 (Pouillé de Sens, p.103) ; Le luminaire de l'Esglise de Chartres, décembre 1369 (A.N.-JJ 100, n° 207, fol. 61 v°) ; L’Église de Chartres, mai 1376 (A.N.-JJ 108, n° 328, fol. 183 v°) ; Le pèlerinage des gens du lieu [Sermaises] à Nostre Dame de Chartres, octobre 1376 (A.N.-JJ 109, n° 290, fol. 134) ; Gardes de Nostre Dame de Chartres les veilles de pèlerinage, septembre 1379 (A.N.-JJ 115, n° 241, fol. 125) ; Les prisons de l’Église de Chartres, juillet 1419 (A.N.-JJ 171, n° 34, fol. 22)  ; Guillaume Forest, l’un des chantres de la cathédrale de Chartres, janvier 1464 (A.N.-JJ 199, n° 550, fol. 346)  ; Donation à l'Esglise de Chartres, décembre 1480 (A.N.-JJ 208, n° 26, fol. 15)  ; L’Esglise Nostre Dame de Chartres, août 1485 (A.N.-JJ 211, n° 654, fol. 143 v°) ; L’Église Nostre Dame, Collegialle, 1657 (Mérian, Topographia Galliae, Chartres) ; Nostre Dame, vers 1670 (A.D. 28-coll. Jusselin, Chartres au chasseur, gravure) ; Nostre Dame, 1724 (B.M. de Chartres, Veue de la ville de Chartres, gravure) ; La Cathédrale, 1827 (Cadastre) ; La Cathédrale, 1969 (Cadastre). Transfert au parlement de Paris au lieu du bailli de Poissy, c’est-à-dire du prévôt de Paris, de tout ressort et compétence sur le temporel du chapitre Notre-Dame de Chartres, 30 août 1356 (A.N.-JJ 84, n° 673, fol. 337 v°).
Confirmation de plusieurs privilèges royaux octroyés aux doyen et chapitre de Nostre Dame de Chartres, d’abord pour les rattacher au ressort du bailliage de Poissy au lieu de celui de Janville, puis, en 1367, directement à celui du parlement de Paris, 8 août 1401 (A.N.-JJ 156, n° 232, fol. 145). La cathédrale devint église paroissiale par Décret de l’Assemblée Nationale du juin 1791 ; cette nouvelle paroisse comprenait les anciennes paroisses de Lucé, Saint-Aignan, Saint-André, Saint-Barthélemy-lès-Chartres, Saint-Brice-lès-Chartres, Saint-Hilaire. Cartulaire : B.N.-Ms lat. 5185 H, 5185 I, 10094, 10095, 11062, Ms français, 24133, Coll. Baluze t. 72 ; Bibliothèque du Vatican-Reg. lat. 2116 ; B.M. de Lyon-Ms  198 ; B.M.de Toulouse-Ms 590 ; Cartulaires de l’église de Notre Dame, 1739 (A.D. 28-G 342).

37 La Cathédrale Saint-Gatien et Saint-Maurice. Cne de Tours. Canonicos Sancti Mauricii Turonensis, vers 1118 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 43, p. 93) ; Ecclesie Beati Mauritii Turonensis, 1198 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 128, p. 284)  ; Et magister Richardus, canonicus Beati Mauricii Turonensis, août 1231 (B.N.-Ms Latin, n° 5441, t. 2, fol. 314)  ; Cum capitulo ecclesie Turonensis, avril 1316 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 44, p. 100) ; Au doyen et chapitre de l'Esglise de Tours, août 1366 (A.N.-JJ 97, n° 8, fol. 10 v°) ; Decano et capitulo sue Ecclesie Turonensis, 21 janvier 1367 (Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 42, p. 91)  ; Les doyen et chapitre de l’Esglise de Tours, novembre 1480 (A.N.-JJ 207, n° 27, fol. 14)  ; Les vicaires et chapelains de l'Esglise de Tours, juillet 1481 (A.N.-JJ 209, n° 30, fol. 16)  ; Le doyen et chapitre de l’Esglise métropolitaine de Tours, janvier 1484 (A.N.-JJ 212, n° 32, fol. 21). Confirmation en faveur des doyen et chapitre de l'Église de Tours du privilège de ressortir directement au parlement de Paris : 22 décembre 1408 (A.N.-JJ 163, n° 101, fol. 50 v°).
Confirmation du privilège donné aux doyen et chapitre de l'Esglise de Tours le 3 septembre 1372 de ressortir directement au parlement de Paris : mars 1444 (A.N.-JJ 176, n° 202, fol. 138 v°). Confirmation du privilège de ressortir immédiatement au parlement de Paris déjà accordé aux doyen et chapitre de l'Esglise de Tours (3 septembre 1372), mai 1454 (A.N.-JJ 191, n° 54, fol. 28 v°). Confirmation des privilèges royaux accordés en 1408 aux doyen et chapitre de l’Église de Tours et notamment du droit de ressortir directement au parlement de Paris, juillet 1466 (A.N.-JJ 194, n° 204, fol. 109 v°). Confirmation des privilèges de l’esglise cathédrale de Tours, juillet 1498 (A.N.-JJ 230, n° 218, fol. 104). Travaux : A.N.-F19 7900-7904. A l’origine, saint Maurice est le patron de la cathédrale, et saint Gatien, celui du chapitre cathédral. Cartulaire : B.N.-Ms Nouv. Acq. lat. 1183 ;  B.M. de Tours-Ms 1272, 1281 ; British. Library-Ms Lansdowne 349.

41 La Cathédrale Saint-Louis. Cne de Blois. Sanctus Solemnis Blesensis, patronus Abbas de Burgomedio, fin XVe s. (Pouillé de Sens, p. 225) ; L’Esglise Sainct Solemne, octobre 1488 (A.N.-JJ 219, n° 224, fol. 136) ; L’Église Saint Sollene de Blois, 6 août 1656 (acte Lefebure-Blois) ; Lad. Églize Sainct Sollaine de Blois, 12 juin 1661 (acte Lefebure-Blois) ; Paroisse de Saint Solenne de Blois, 14 mai 1668 (A.C. d’Amboise-GG 17, Notre-Dame en Grève et Saint-Florentin) ; L’Église Saint Solaine, 8 septembre 1681 (acte Malescot-Blois) ; L’Église parroisialle Saint Solaine de cette ville de Blois, 7 mai 1682 (acte Malescot-Blois) ; Saint Solenne de Blois, patron idem, présentateur Monseigneur [évêque de Blois], 1748 (B.M. de Blois, Ms 123, Pouillé de Blois, 18 v°). Collégiale et église paroissiale Saint-Solenne, cathédrale Saint Louis en 1697.

45 La Cathédrale-Sainte-Croix. Cne d’Orléans. Sancta Crux Aurelianis, Ratio Sancte Crucis Aurelianis, VIIIe s. (monnaies d’Orléans) ; Ecclesia Sanctae Crucis, 814 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 67) ; Domus Dei, quae in eadem urbe [Orléans] in honore Sanctae et Vivificae Crucis Dei est dicata, ubi manus Domini apparuit, 840-843 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 63, charte de Charles II le Chauve non datée et suspecte) ; Ermenteux, Aurelianorum ecclesiae episcopus, quae in honore Sanctae et Vivificae Crucis dinoscitur esse constructa, in qua etiam manus Domini apparuit, 956 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 519) ; Ecclesia in honorem Dei et sanctae Crucis constructa, 975 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 124) ; Ecclesia Sanctae Crucis, 979 (Cartulaire de Sainte-Croix d’Orléans, p. 127) ; Moustier Sainte Crois, XIIe s. (Chanson de geste de Girart de Roussillon) ; In Ecclesia Aurelianensi, 16 février 1317 (A.N-JJ 54A, fol. 7 v°, n° 106) ; Une prébende du chapitre d’Orlians, 13 octobre 1407 (A.N.-JJ 162, n° 68, fol. 59 v°) ; Le chapitre de l’esglise de Saincte Croix d’Orléans, juillet 1470 (A.N.-JJ 196, n° 219, fol. 139 v°) ; Le doyen et chapitre de l’Esglise de Saincte Croix d’Orléans, juillet 1485 (A.N.-JJ 211, n° 685, fol. 150 v°) ; Decanus Ecclesie Aurelianensis electivus est, XVIe s (Pouillé de Sens, p. 33) ; Capitulum Sanctae Crucis Aurelianensis, 1648 (Pouillé de Bourges, p. 121, 133) ; Ad ecclesiam Sanctae Crucis Aurelialensis, 1648 (Pouillé de Bourges, p. 126). Cathédrale d’Orléans ; église paroissiale créée par décret du 9 janvier 1791 de l’Assemblée Nationale. Cartulaire : B.N.-Ms lat. 12739, Coll. Baluze t. 78, fol. 1-49, 128, Coll. Moreau ; Bibliothèque de l’Arsenal-Ms 1008 ; Bibliothèque Sainte-Geneviève-Ms 347 ; B.M. d’Orléans-Ms 552.

Cathelière. Catheau, nom de personne d’origine française.
18 La Cathelière. Cne de Blancafort. La Cathelière, 1816 (Cadastre) ; La Cathelière, 1847 (B.N.-Ms Français 9844).

Catheline. XIIIe s. Variante : Catherine.
28 Les Cathelines. Cne de Saint-Denis-les-Ponts. Champtier des Cathelines, 1810 (Cadastre) ;  Les Cathelines, 1971 (Cadastre).
37 Catheline. Cne de Jaulnay.

Cathelinerie. Cathelin, variante masculine de Catherine. Nom de personne d’origine française.
18 La Cathelinerie. Cne de Bannay. La Catelinerie, 18 (Cadastre) ; La Cathelinerie, 19 (Cadastre).

Cathelinette. Variante : Catelinette. Cathelin, nom de personne d’origine française. Le féminin sous-entend terre ou correspond à la transcription phonétique de la prononciation ligérienne de la finale et / ette.
37 Les Cathelinettes. Cne de Chinon. Les Cathelinettes, 1837 (Cadastre) ; Les Cathelinettes, 1967 (Cadastre).

Cathelinière. Cathelin, variante masculine de Catherine. Nom de personne d’origine française.
37 La Cathelinière. Cne d’Esvres. La Cathelinière, 1823 (Cadastre) ; La Cathelinière, 1935 (Cadastre).

Cathelogne.
28 Cathelogne. Cne de . Fief de Cathelogne, relevant de Châteauneuf, 1514 à 1665 (A.D. 28-E 1372). Fief.

Catherine. Variante : Catheline, Catteline. Nom de femme, dérivé du grec katharos = pur, propre.
37 Catherine. Cne de Razines.

Catherine d’Entragues. Catherine Henriette de Balzac d'Entragues, marquise de Verneuil.
18 Rue Catherine-d’Entragues. Cne d’Aubigny-sur-Nère. Terres des Granges Rouges, 1837 (Cadastre d’Aubigny-Villages) ; Anciennes Terres des Granges Rouges, 1958 (Cadastre) ; Rue Catherine d’Entragues, 2010 (Cadastre). Commune d’Aubigny-Villages.

Catherine de Maillé.
37 Catherine-de-Maillé. Cne de Luynes. Coppie collationnée de l’aveu des fiefs de Catherine de Maillé, Pain et Moulinets par Catherine Lorain, veuve de Jacques Tourmereau, au comté de Maillé, devant Girault et Patrix, notaires, contenant 702 articles, du 5 août 1602, 27 septembre 1780 (acte Duclos Desvillettes-Luynes) ; Collation de la copie de l’aveu des fiefs de Catherine de Maillé, Pains et Moulinets situés à Luynes et Fondette, rendu dans un seul et même acte et réunys au duché de Luynes, rendu par Catherine Lorin, Veuve de Jacques Tournereau, à Margueritte Hurault, comtesse de Maillé, devant Girault et Beatrix, notaires à Tours, le 5 août 1606, 10 décembre 1782 (acte Perier-Luynes) ; Le fief appelé le Fief Catherine de Maillé, paroisse de Maillé, valant 25 l., 1639 (B.N.-Fonds Châtre de Cangé, n° 4835, Roolle des fiefz de Touraine, rolle de Maillé, fol. 114) ; Le Fief de Catherine de Maillé, XVIIe s. (A.D. 37-E 372, 374) ; Le fief de Catherine de Maillé, aussi réunie aud. duché de Luynes, 9 et 23 janvier 1782 (acte Delaroche-Luynes). Fief.

Catherine Pateux.
18 Rue Catherine-Pateux. Cne de Mehun-sur-Yèvre. Rue Catherine Pateux, 1998 (Cadastre).

Catherinot. Catherin, masculin de Catherine, et suffixe diminutif ot.
18 Rue Catherinot. Cne de Bourges. Rue Catherinot, 1998 (Cadastre).

Catheys.
36 La Catheys. Cne de Clion. Le fief de la Catheys, paroisse de Clion, valant 40 l., 1639 (B.N.-Fonds Châtre de Cangé, n° 4835, Roolle des fiefz de Touraine, roolle de Buzançais, fol. 13). Fief.

Catiche.
36 La Catiche. Cne de Bouesse. La Catiche, 1840 (Cadastre) ; La Catiche, 1961 (Cadastre).
36 Rue de la Catiche. Cne de Châteauroux. Chemin du Moulin Neuf, 1971 (Cadastre) ; Rue de la Catiche, 8 juin 1979 (Délibération du Conseil Municipal).

Catichon. Nom de personne d’origine française.
37 Le Catichon. Cne de Betz-le-Château. Aucatichon, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Le Catichon, 1813 (Cadastre) ; Le Catichon, 1955 (Cadastre).

Catichonerie. Catichon, nom de personne d’origine française.
37 La Catichonerie. Cne de Loches. La Catichonerie, 1826 (Cadastre) ; La Catichonerie, 1962 (Cadastre).

Catidet.
18 Le Catidet. Cne de Touchay. Le Catidet, Le Catidat, 1826 (Cadastre) ; Le Catidet, 1956 (Cadastre).

Catienne.
18 La Catienne. Cne de Sury-ès-Bois. La Catienne, 1834 (Cadastre) ; La Catienne, 1963 (Cadastre).

Catillonnerie. Catillon, Pierre Catillon, 16 avril 1742 (A.C. de Saint-Avertin-GG 21), variante de châtillon, nom de personne d’origine française.
18 La Catillonnerie. Cne de Saint-Palais. La Catillonnerie, 1828 (Cadastre).

Catillonnière. Catillon, variante de châtillon, nom de personne d’origine française.
18 La Catillonnière. Cne de Blancafort. La Caquinonière, 1730 (A.D. 18-D 32) ; La Catillonnière, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Catillonnière, 1816 (Cadastre) ; La Catillonnière, 1847 (B.N.-Ms Français 9844).

Catin. Diminutif français masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque. Le féminin sous-entend terre.
18 La Catin. Cne de Jouet-sur-l’Aubois.
36 Catin. Cne de Rouvres-les-Bois. Catin, 1844 (Cadastre).
37 Catin. Cne de Manthelan.
37 La Catin. Cne de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin. La Catin, 1832 (Cadastre) ; La Catin, 1941 (Cadastre).
45 La Catin. Cne du Batilly-en-Gâtinais. La Catin, 1811 (Cadastre) ; La Catin, 1951 (Cadastre).

Catinaserie. Catinas ou Catinat, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque.
28 La Catinaserie. Cne de Theuville. La Catinaserie, 1835 (Cadastre) ; La Catinaserie, 1935 (Cadastre).

Catinauderie. Catinaud, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque.
36 La Catinauderie. Cne de Pellevoisin. La Catinauderie, 1835 (Cadastre) ; La Catinauderie, 1939 (Cadastre).

Catinerie. Catin, nom de personne d’origine française.
36 Les Catineries. Cne de Lurais. Les Catineries, 1946 (Cadastre).
37 La Catinerie. Cne de Saint-Benoît-la-Forêt. La Catinnerie, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La Catinerie, 1813, 1944 (Cadastre).
41 La Catinerie. Cne de Sainte-Anne. La Catinerie, ou Le Petit Villesus, XVIIIe s. ; La Catinerie, 1811 (Cadastre) ; La Catinerie, 1966 (Cadastre).
41 Les Catineries. Cne de Rahart. Les Catineries, 1833 (Cadastre du Rouillis) ; Les Catineries, 1938 (Cadastre). Commune du Rouillis.

Catinet. Diminutif français masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque
36 Catinet. Cne de Saint-Denis-de-Jouhet. Catinet, 1834 (Cadastre) ; Catinet, 1964 (Cadastre).

Catinière. Variante : Cattinière. Catin, nom de personne d’origine française.
18 La Catinière. Cne de Lazenay. La Catinière, 1827 (Cadastre) ; La Catinière, 1933 (Cadastre).
18 La Catinière. Cne de Ménétréol-sur-Sauldre. La Catinière, 1833 (Cadastre) ; La Catinière, 1951 (Cadastre).
41 La Catinière. Cne de Villeporcher. La Catinière, XVIIIe s. (Carte de Cassini).
41 Les Catinières. Cne de Rahart. Les Catinières, 1833 (Cadastre d) ; Les Catinières, 1938 (Cadastre).

Catinois. Catin, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque, et suffixe ois pour former les noms de lieu.
18 Le Catinois. Cne de Marçais. Le Catinois, 1826 (Cadastre) ; Le Catinois, 1965 (Cadastre).

Catonne. Caton, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque. Le féminin sous-entend terre.
41 Catonne. Cne de Santenay. Catonne, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

Catonnerie. Variante : Cattonnerie. Caton, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine gréco-latine, kataros = pur.
18 La Catonnerie. Cne d’Azy. Terre scituée à la Catonnerie, 29 décembre 1699 (acte Bonneville-Morogues).

Catonnière. Caton, nom de femme d’origine grecque.
18 La Catonnière. Cne de Vignoux-sous-les-Aix.

Catottière. Catot, diminutif masculin de Catherine, nom de femme d’origine grecque.
18 La Catottière. Cne de Saint-Aignan-des-Noyers. Le terroulx de la Cathotière, 1486 (A.D. 18-4 H, abbaye Saint-Sulpice de Bourges).

Catrin. Diminutif masculin français de Catherine, nom de femme d’origine grecque.
18 Le Catrin. Cne de Saint-Palais. Le Catrin, 1828 (Cadastre) ; Le Catrin, 1936 (Cadastre).

Catrouge.
18 Le Catrouge. Cne d’Osmery. Le Catrouge, 1830 (Cadastre) ; Le Catrouge, 1931 (Cadastre).

Catrousière. Catroux, nom de personne d’origine française.
37 La Catrousière. Cne de Charentilly. Clos de la Catrocière, La Catroucière, 1485, 1495 (A.D. 37-G, Charentilly) ; La métairie de la Catrousière, située paroisse de Charentilly, fief de la Roche Huard, 6 novembre 1751 (acte Pallu-Tours) ; La Catrousière, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; La métairie de la Catrousière, située commune de Charentilly, 26 prairial an 4 (acte Archambault-Semblançay) ; La Catrousière, 1827 (Cadastre) ; La Catrousière, 1933 (Cadastre).

Catroux. Variante : Cateroux. Diminutif masculin français de Catherine, nom de femme d’origine grecque.
41 Les Catroux. Cne de Trôo. Les Catroux, 1825 (Cadastre) ; Les Catroux, 1961 (Cadastre).

Catteline. Variante : Catherine. Le féminin sous-entend terre.
18 Les Cattelines. Cne de Sancoins. Les Cattelines, 1836 (Cadastre de Jouy) ; Les Cattelines, 1963 (Cadastre). Commune de Jouy.

Cattinière. Variante : Catinière.
41 La Cattinière. Cne de Villedieu-le-Château. La Cattinière, 1824 (Cadastre).

Cattonnerie. Variante : Catonnerie.
45 La Cattonnerie. Cne de La Cour-Marigny. La Cattonnerie, 1811 (Cadastre) ; La Cattonnerie, 1935 (Cadastre).

Catud.
37 La Catud. Cne de Courçay. La Catud, 1826 (Cadastre) ; La Catud, 1936 (Cadastre). Chapelle Saint-Jacques.
37 Les Catuds. Cne de Courçay. Les Catuds, 1826 (Cadastre) ; Les Catuds, 1936 (Cadastre).

Catuère.
37 Les Catuères. Cne de Varennes. Les Catuères, 1832 (Cadastre) ; Les Catuères, 1933 (Cadastre).